Bêtises en perspective l PV Petite Pluie

"Eh, ça te dit de sortir un peu du camp, en douce ?"
Petite Pluie leva la tête et aperçue que Petit Papillon lui parlait...
Le temps qu'elle comprenne le sens de ses paroles, elle leva vers lui un regard interrogateur, puis saisi le sens de ses paroles.
Toute exitée a l'idée de faire des bêtises, Petite Pluie se leva d'un bond énergétique et s'écria:
Bien sur !!! Ou allons nous !! Pourquoi pas près de la rivière ?!
Puis elle s'aperçut que les autres membres du clans la regardait avec un regard chargé de soupson... Génée, elle se balança d'une patte sur l'autres, puis leva les yeux vers son ami en lui demandant un coup de main pour la sortir de l'embaras...
{ Eh oui, ma Petite Pluie a toujours besoin d'un coup de patte pour se sortir du pétrin dans lequel elle se met ... }

Excitée, la petite s'écria, sans aucune prudence :

"Bien sûr ! Où allons-nous ? Pourquoi pas près de la rivière ?"

J'eux voulu l'arrêter, mais déjà, tous les regards étaient tournés vers nous. Je réfléchit un instant, tandis que, gênée, Petite Pluie se balançait sur ses pattes. Que faire ? Soudain, j'eux une idée, pas brillante, mais ce fut la seule qui me vint à l'esprit.

"Daccord ! dis-je, sur un ton ejoué. Nous dirons que la rivière passe juste devant la tanière des guerriers et des apprentis !"

Je me dirigeai en sautillant vers la pouponnière.

"Ici, on a qu'à dire que c'est un énorme tronc d'arbre presque infranchissable. Et ici, continuai-je en allant devant le promontoire, se serait la forêt sombre, un endroit très dangereux ..."

Je regardais avec anxiété autour de moi, mais déjà, les conversations avaient repris, et ma mère souriait à entendre parler de nos "jeux". Je poussai un soupir de soulagement et vint me coller à Petite Pluie.

"Ce qui tu es étourdies ! Maintenant, ça va être super dur de sortir du camp sans attirer l'attention !"

Me rendant compte que je l'avais blessée, je repris d'une voix plus douce :

"Ce n'est pas très grave ... Suis-moi."

Je me dirigeai vers la haie, lançant des coups d'oeil furtifs autour de moi.

Ouf Petit Papillon m'avait sauvé la mise, il faudra penser a le remercier quand nous serons assez loin de diverse oreilles indisrètes...
Nous arrivons sans trop d'embuche à la frontière du camp, mais arrivé a quelque queue de la rivière je percut un mouvement dans le buisson sur ma gauche. inquiète je jeta un coup d'oeil a mon ami. Il l'a vu lui aussi car ses oreilles se sont dresser et son poils s'est légèrement hérisser...
Mais qu'est ce que ca peut bien être bon sang ?! Une patrouille ? Une proie ? A cette idée, je me senti fremir! Et si s'en était une ?! Ce sera ma première proie!!! Mais très vite, le souvenir de ma première tentative de chasse me revin t en mémoire... J'était trop près de la rivière et j'avais faillit tomber dedans, et ce jour la, j'avais rencontré Patte des Dieux... Bien que je ne le vois plus en ce moment, je me souviens encore de sa jolie fourure toute brillante !
Une fois revenue sur terre, je pris ma decision: j'allais bondir et attraper cette chose qui se cachait derrière ce buisson!
Si tôt dit, si tôt fait, les muscle bandés, j'atterie tant bien que mal sur quelque chose de mou.
Bam ! Un coup, sur sa tête et "la chose" fut assomée. J'avais raison ! C'était une poule d'eau en train de chercher des vers ! Honteuse, je me dis que ses petits allaient mourir de faim..
Peut importe, même si je me sentirais toujours un peu coupable... Je pris la poule dans ma gueule, puis je me retournait vers Petit Papillon.
Arrivée a sa hauteur, je vis une etincelle dans son regard!
L'ai-je impressioné?me demandais-je, pleine d'espoir.

Nous avançâmes en silence pendant quelques queues de renards, et une fois que nous fûmes assez loin du camp pour discuter sans attirer l'attention, je me détendis et commençai à avancer de façon moins discrète. Les bruits environnants étaient si agréables à mes oreilles frémissantes ! C'était la 4ème fois que je sortais en douce, mais c'était la première fois que je faisais cette escapade accompagné ... Je jetai un regard à ma camarade : c'était sans doute la première fois qu'elle s'échappait du camp, et je ne tenais pas à ce qu'il nous arrive un malheur ! De plus, elle était un peu plus jeune, et une peu gaffeuse, je devais bien l'avouer ... Soudain, je me figeai. Un petit craquement venait de retentir dans un fourré, juste près de nous. Mes oreilles frémirent, et je remarquai qu'à côté de moi, Petite Pluie avait aussi perçu ce bruit. Elle murmura :

"Mais qu'est ce que ça peut bien être bon sang ?! Une patrouille ? Une proie ?"

Je m'apprêtai à lui dire un mot, pour la rassurer. je m'imaginais déjà, bravant une féroce guerrier, et revenant en héros devant la chatonne. Elle m'admirerait alors. Ah, quelle fierté. Alors que je bombais le torse, me préparant à cet acte héroïque, je vis avec stupeur que Petite Pluie n'était plus à mes côtés. paniqué, je le cherchai des yeux. Je l'imaginais déjà, tombée à l'eau. mais je vis le fourré cachant l'intrus bouger, et la petite au pelage gris ressortir fièrement derrière l'amas de feuille, une poule d'eau aussi grosse qu'elle dans la gueule. Quoi ? Elle a attrappé une proie ? Impressionnée, je m'écriai :

"Comment tu as fait ? Sans aucun entraînement ?"

Je contemplai sa prise avec admiration ... et envie.

"Comment tu as fait ? Sans aucun entraînement ?"
Dans ses yeux brillaient une lueur d'admiration et autre chose que je puis décrire car le sang de cette proie me monta rapidement a la tête... Les larmes me picotèrent les yeux et je detournait la tête pour les cacher. J'avais tué un être vivant... Incapable de contenir mon degout pour moi même, mes épaules furent rapidement secoué de sanglots...
Comment avais-je pus faire cette chose horrible?! Mon chagrin calmé, je me retournait vers Petit Papillon, qui me regardait avec un air anxieux..
Pourvu qu'il ne m'ai pas vu pleurer !pensais-je en me maudissant moi même en pensant a ce qu'il pourrait raconter aux autres !
Mais un dernier coup d'oeil vers lui fit s'envoler mes pensées noires, Petit Papillon n'était pas comme ca.
Je me décida enfin a répondre a sa question:
" Juste mon instintc de chasseuse ! lui répondis-je malicieusement, en venant enrouler ma queue autour de la sienne, sans faire attention ou pas si mes yeux était encore rouges a cause de mes larmes...

{ Est ce que les chats ca pleure ?!    } 

[Hum ... je ne pense pas, mais bon, je fais souvent ça aussi ! ;)]

Je contemplai toujours la proie, quand les yeux de Petite Pluie s'embuèrent. Etait-ce la forte odeur du sang, les ronces du buisson, où autre chose ? La petite détourna vivement la tête, laissant glisser sa proie à ses pieds. Elle resta quelques instants tête baissée, sans que je puisse voir son expression. Soudain, je remarquai que ses épaules tressautaient. Elle pleurait ? Elle venait de tuer une proie aussi grosse qu'elle et elle pleurait ? Oui, c'était justement ça, sûrement. Mais si à sa place, j'aurai sauté de joie, peut-être était elle mal à l'aise d'avoir tué quelqu'un ... Elle releva la tête. ses yeux étaient bouffis et le pelage de ses joues collait à sa peau. C'était bien sûr, elle avait pleuré, discrètement, mais à chaude larme. Cependant, je vis ses yeux rouges s'éclairer d'une lueur de malice - peut-être un peu simulée, mais peu importe -, et elle déclara :

"Juste mon instinct de chasseuse !"

Un sourire timide qu'elle voulut naturel s'afficha sur son visage. Je décidai de ne pas lui poser de questions sur sa tristesse pour ne pas la mettre mal à l'aise et la laissa enrouler amicalement sa queue autour de la mienne. Nous restâmes côtes à côtes un bon moment, comme deux meilleurs amis. Seul le gargouillement de la rivière et le chant des oiseaux venaient troubler le silence environnant. Je regardai un moment le ciel. Il s'était assombrit, et un pâle reflet grisâtre indiquait déjà l'arrivée imminente de la lune. Je me dressai soudain, conscient qu'il était temps de rentrer :

"Il est tard, nous devons rentrer ..."

J'étais triste de devoir arrêter cette escapade. Mais j'eus une idée.

"Eh, ce soir, on se couche tôt, et demain, on se réveille à l'aube pour faire plein de bêtises : réveiller les anciens, mettre des feuilles mortes dans la litière des apprentis et des chatons, courir dans les pattes des guerriers, se camoufler avec des feuilles et de la boue pour rentrer dans l'antre de la chef ... J'ai plein d'idées ! Ce serait génial, non ?"

Mais yeux brillaient. je voyais que Petite Pluie s'apprêtait à répondre, quand mon regard glissa lentement vers la poule d'eau : qu'allions nous en faire ?

"Il est tard, nous devons rentrer ..."
Oh non ! Déja ?
"Eh, ce soir, on se couche tôt, et demain, on se réveille à l'aube pour faire plein de bêtises : réveiller les anciens, mettre des feuilles mortes dans la litière des apprentis et des chatons, courir dans les pattes des guerriers, se camoufler avec des feuilles et de la boue pour rentrer dans l'antre de la chef ... J'ai plein d'idées ! Ce serait génial, non ?" reprit Petit Papillon le regard brillant
Ooooohh ouiiiiiii !! m'exclamais-je, folle de joie !!
On pourra aussi aller dans la tanière du guerrisseur et guérir les malades avec des remèdes qu'on aura inventé !!repris-je, puis, je vis que Petit Papillon regardait avec anxiétée la poulle d'eau...
La boule qui avait jsuqu'a présent disparue, revent aussi vite que la dernière foi, se coinçat dans ma gorge. Mais couragesement je pris la poule d'eau dans ma geuele, évitant soigneusement de poser ma langue sur sa plaie. Je me retourna vers Petit Papillon, et lui dit tant bien que mal car c'était difficile d'articuler avec quelque chose dans la bouche ^^
Aller yiens la on yentre ( allez viens la on rentre ;) ) marmonnais-je.
Il me suivit jusqu'au camp mais avant que les autres chat s'appresoive je fis demi-tour pour faire face a mon ami et lui demanda:
Tu pense que j'ai bien fait de tué cette poule d'eau ? demandais-je, quasiment de nouveau au bord des larmes.
Puis je rajoutais-je:
Tu n'aura qu'a dire que c'est toi qui l'a tué et tu l'a deposera avec les autres proies Ok ?
Et puis on se retrouve demain a l'aube devant l'entré de la pouponière tu es d'accord ?

Petite Pluie suivit mon regard et prit la poule d'eau entre ses crocs. je la laissai faire, pensant qu'elle avait une idée pour nous couvrir. Elle semblait répugner le contact avec les plumes encore chaudes de l'animal, mais je ne dis mot et la suivit. je constatai, au bout d'un moment, que nous nous dirigions tout simplement vers le camp. Avait-elle une idée ? Mais elle s'arrêta juste avant le tunnel de bruyère, et demanda, la poule toujours coincée entre les dents :

"Aller yiens la on yentre".

Elle s'apprêtai à rentrer, mais fit volte face au dernier moment. je voyais sa truffe trembler et ses yeux s'embuer d'une fine couche cristalline. Elle demanda, la voix vibrante :

"Tu pense que j'ai bien fait de tuer cette poule d'eau ?"

Quelle question ! C'était ce que je m'apprêtai à répondre, mais elle ajouta, visiblement résolue :

"Tu n'aura qu'a dire que c'est toi qui l'a tuée et tu l'a deposera avec les autres proies Ok ?
Et puis on se retrouve demain a l'aube devant l'entré de la pouponière tu es d'accord ?"

Elle fit un pas, et je lui attrapai brusquement la queue, et la tirai, enfin, plutôt la balançai dans un coin de buisson. Je chuchotai, furieux :

"Enfin, ou-est ce que tu as la tête ! Tu ne comptais quand même pas rentrer au camp par l'entrée principale, et du gibier dans la gueule en plus ! Tu tiens vraiment à ce que tout le monde sache que nous sommes sortis en douce !?"

Je me rendais compte que je m'étais peut-être un peu énervé, mais Petite Pluie semblait être une cervelle de souris. Mes moustaches vibraient encore sous la colère.

[Eh oui, mon chaton est un peu colèreux ! ;)]

"Enfin, ou-est ce que tu as la tête ! Tu ne comptais quand même pas rentrer au camp par l'entrée principale, et du gibier dans la gueule en plus ! Tu tiens vraiment à ce que tout le monde sache que nous sommes sortis en douce !?"
Le ton qu'avait utilisé Petit Papillon avait véxé Petite Pluie. Une luer de colère et d'enervement passèrent dans ses yeux.
Eh bien tu n'a qu'a la manger, et, si tu tiens toujours a aller avec un chaton qui n'y connait riendemain t'amuser, eh bien rendez vous a l'aube devant l'entrée de la pouponière!
Sur ce, Petite Pluie lui tourna le dos jusqu'a ce qu'elle entendit:
Attends !
C'était Petit Papillon qui l'a rappellait. Petite Pluie esperait qu'il lui pardonnerait sa crise et que leur relation redeviendrait normal...

Petit Papillon de desserrait pas les crocs. les yeux de Petite Pluie s'allumèrent d'une lueur de colère, telle que le chaton n'en avait jamais vu chez sa douce camarade. Elle s'exclama, d'un ton plein de reproche :

"Eh bien tu n'a qu'a la manger, et, si tu tiens toujours a aller avec un chaton qui n'y connait rien, demain t'amuser, eh bien rendez vous a l'aube devant l'entrée de la pouponnière !"

Petit Papillon se rendit compte qu'il l'avait vexée. il ne voulait pas. Il avait été un peu brusque, mais il avait vraiment eu peur qu'elle rentre, et qu'ils se fassent prendre. Et puis, c'était sa première sortie, à Petite Pluie ... Celle-ci tourna les talons. Il s'écria :

"Attends !"

Sa patte frola la queue de la jeune chatte. Petit Papillon continua :

"Tu ne sais même pas par où passer ! Et puis, on pourrait se partager cette proie ! C'est quand même toi qu'il l'a attrapée ..."

Le chaton remarqua le léger tremblement des vibrisses de son amie, signe que la colère, bien que toujours présente, redescendait.

"Je suis désolé, j'avais juste peur qu'on se fasse prendre ... Je voulais pas être brusque ... Et puis, j'ai jamais dis que tu n'y connaissais rien."

Il poussa la poule d'eau du bout de la patte pour inciter son amie à la partager avec lui. Il approcha son museau de l'animal en croqua à pleine dents. Il voulait goûter la saveur de cette animal. Soudain, il remarqua la lueur amusée qui brillait dans les yeux de la chatonne et recracha tout en criant.

"Beuh !!! C'est dégoûtant !"

Il enleva du bout de la patte une plume coincée entre ses dents et coula un regard sur l'animal. Oui, les plumes ... Peut-être était-ce meilleur sans ...

[Il a oublié d'enlever les plumes, et toi, tu peux te moquer de lui gentiment, ce sera marrant ! ;)]

"Attends !"

La patte frola la queue de la jeune chatte. Petit Papillon continua :

"Tu ne sais même pas par où passer ! Et puis, on pourrait se partager cette proie ! C'est quand même toi qu'il l'a attrapée ..."
Soulagée qu'il ne l'ai pas laissée retourner toute seule au camp, Petite Pluie s'adoucit, mais n'oublia pas cependant de la facon dont il l'avais traité. Mais Petit Papillon était a fond dans son monologue et continua:

"Je suis désolé, j'avais juste peur qu'on se fasse prendre ... Je voulais pas être brusque ... Et puis, j'ai jamais dis que tu n'y connaissais rien."
Il poussa la poule d'eau du bout de la patte pour inciter son amie à la partager avec lui. Il approcha son museau de l'animal en croqua à pleine dents. Petite Pluie, qui avait deja eu l'occasion de gouter cette proie avec sa mère, savait qu'il fallait enlevé le minimum de plume pour que la proie soit mangeable. Elle etouffa un rire tant bien que mal, et regarda son ami d'un regard tendre et amusé qui s'écria:
"Beuh !!! C'est dégoûtant !"
Cette fois, la jeune chatte se laissa aller et éclatta d'un rire moqueur, mais elle sembla être enfin apaisé, et le sang ne lui venait plus a la bouche, chaque fois qu'elle regardait l'animal.
Elle lui répondit, moqueuse, mais son ton n'était pas sarcastique,mais au contraire, attendrit:
Cervelle de souris ! Il faut enlevé les plumes avant de pouvoir faire un festin !
Sur ce, elle chatouilla de la queue l'oreille de son camarade et commenca a se mettre a la tache
{ XD ton chaton manque vraiment d'experience :-P}

Petite Pluie, qui me dévisageais toujours de son air amusé dérida un sourire et se laissa aller dans un éclat de rire. Après quelques instants d'incompréhension, je me laissai gagner moi aussi par cette hilarité, toujours sans savoir quelle en était la cause. Puis, après un moment de fou rire intense, Petite Pluie m'observa de ses yeux brillants et dit, d'un ton amusé :

Cervelle de souris ! Il faut enlever les plumes avant de pouvoir faire un festin !

J'observai un instant la poule d'eau, puis me rendis compte de mon erreur et souris.

Tu as raison ! Ce que je suis bête !

Je me mis au travail aux côtés de mon amie pour déplumer l'oiseau. puis, nous croquâmes à deux dans sa chair fraîche. Cette fois, je souris, épanoui. C'était la première fois que je goûtais du vrai gibier, et c'était délicieux !

Tu as raison ! Ce que je suis bête !

Petit Papillon se mis au travail a mes côtés pour déplumer l'oiseau. Puis, nous croquâmes à deux dans sa chair fraîche. J'avas dejà eu l'occasion de gouter du gibier avec ma mère, mais je me surpris a penser a quel point c'était délicieux, n'ayant plus peur de la mort, je me sentais presque fière de ma prise, mais un peu coupable de la partager... Mais, après réflexion, je la partageais déjà avec Petit Papillon! Soulagée, je finis ma part et me releva en soupirant:
Que c'était bon !
Je me retournais vers Petit Papillon, puis me rendit compte a quel point son pelage étincellait a la lumière du coucher de soleil. C'etait magnifique. Me rendant compte qu'il me fixait avec insistance également, je rougis, et baissa les yeux...

Notre repas terminé, Petite Pluie s'exclama :

"Que c'était bon !"

Nous nous regardâmes un instant. les pattes fines de Petite Pluie étaient souplement pliées sur son corps fin. Elle avait un profil agile et ... magnifique. Je secouai discrètement la tête pour me passer de ces pensées peu appropriés et vis qu'elle même baissait les yeux. Je me levai en souriant :

"Bon, il est temps de rentrer, si nous voulons être en forme ! Suis-moi !"

Je conduisis Petite Pluie avec moi vers la haie du camp, juste derrière la pouponnière. Je fouillai pendant un moment dans les broussailles sans parvenir à trouver le trou que j'utilisais avant. J'en venais à me demander si personne ne l'avait rebouché au moyen de branches, mais je finis par le dénicher. Une toute petite ouverture entre les feuilles. J'ondulai la queue pour faire signe à mon amie de me suivre et entrai dans le camp, tout en surveillant les alentours. Je contournai la pouponnière en silence, et, après un rapide coup d'oeil à l'intérieur, entrai. Elle était calme. Petite Pluie me rejoint. Nous nous installâmes dans une litière de mousse tandis que le souffle de nos camarades berçait mes paupières. Je finis par les fermer doucement et par m'endormir.

"Bon, il est temps de rentrer, si nous voulons être en forme ! Suis-moi !"

Mon ami me conduisit a travers la haie, juste derrière la pouponnière. Il fouilla un instant dans les brousaille, puis étouffant un cri, je le vis disparaitre... Mais il me fit signe de la queue de le suivre.
Au aguet, il me conduisit dans la pouponière, sans que personne ne remarque mon absence. Arrivée près de l'endroit ou je me niche d'habitude pour dormir, j'hésite.
Je voulais me nicher dans Petit Papillon pour dormir, mais, déjà, il était endormi a point fermé après m'avoir soufflé un bref:
Bonne nuit !
Ainsi, je me dis que peut être que demain, après notre journée prévue, qui s'anoncait exitante, je n'hesiterais pas un instant a ma poloter contre lui.
Puis, quelque instant plus tard, j'était partie dans les vchamps de pissenlits auprès d'un chat couleur or, la couleur du soleil, qui me murmurait doucement:
Je t'aime Petite Pluie


{ On recommence un Rp au matin ou alors tu peux me repondre sur ce Rp même en racontant de quoi tu rêve :). Bonne nuit !! ;p
Le matin, on sortira de la pouponière et que l'aventure commence ! :) }

Une poule d'eau énorme, bien plus grosse que moi et aux yeux perçants fonçait en ma direction. la forêt paisible dans laquelle je poursuivais une souris plus tôt était devenue cauchemardesque. Je fus soudain écrasé par la poule d'eau, dans un cri de terreur.
J'ouvris les yeux. L'atmosphère qui régnait dans la pouponnière était calme. Tous dormaient. J'observai la masse sombre des chatons autour de moi. Leur ventre se soulevait régulièrement, même celui de Petite Pluie. j'observai le ciel à travers les branchages. Il était peut-être un peu tôt pour se lever, puisque l'aube n'était pas pour tout de suite, mais je savais que je ne pourrais pas me rendormir avec cet affreux cauchemar en tête. Précautionnesement, je me levai, et traversai la pouponnière. Il ne fallait surtout pas marcher par mégarde sur la queue de l'un des félins, ou je serais tout de suite démasqué. Enfin, j'atteignis l'entrée. L'air, dehors, était frais et agréable. Le camp endormi avait quelque chose d'apaisant, si bien que malgré tout, je sombrai dans une somnolence peu profonde.

Je fus réveillé par la faible lumière du soleil de l'aube. Il était l'heure. Petite Pluie ne devrait pas tarder à me rejoindre. J'attendis quelques minutes, et la vit arriver, plus enjouée que jamais.

Moi et Petit Papillon étions dans un champ en fleur, j'eternua et les pissenlit en graine s'envolèrent chacun dans leurs direction. Petit Papillon me lança un regard insistant il s'approcha de moi, nos museau presque a se toucher et me murmura : Petite Pluie je ... Euh... Je t'ai...
Tout a coup, une pluie chaude s'abatit sur nous... Elle etait rouge sang... Mais c'était du sang !!! Horrifié je me réveilla en sursaut.
Il faisait a peine jour et tout le monde était profondément endormi..
Un frison me parcouru en repensant a tt ce sang .. Brrr
Rapidement, je regoinit Petit Papillon en pensant a la merveilleuse journée qui nous attendait ! Heureuse ,je le vit les yeux encore endormi.

Queue dressée, poil lustré, yeux brillants ... Comme toujours, et même si nous nous apprêtions juste à faire des bêtises, Petite Pluie était jolie comme si c'était son baptême. Je contemplai avec honte mon pelage hirsute et toujours dressé, signe d'excitation, et peut-être d'une petite pointe de rebellion. Je me tournai vers la petite et murmura :

- Par quoi commençons-nous ? Réveiller les anciens, les guerriers, les apprentis ? A toi de choisir !

Je réfléchis qu'il était peut-être un peu risqué de réveiller els guerriers et d'avoir le temps de s'enfuir avant qu'ils nous reconnaissent mais tant pis. Ce serait à Petite Pluie de trancher. J'imaginais déjà avec bonheur à toutes les parties de rigolade que nous allions avoir tous les deux ! Je tournai la tête et vit avec horreur que Petite Flaque, mon amoureuse, se frottai contre un autre chaton, dans la pouponnière. Leurs queues étaient enroulées. Je décidai, les yeux hargneux, que je n'hésiterais pas, et que même si d'habitude, je faisais attention à ce que mon sentiment amoureux envers Petite Pluie soit inconnu de tous, là, je pourrais laisser libre cours à mon cœur et mes gestes, pour enfin exprimer mon amour. Pour une journée peut-être, mais si mon amoureuse faisait de même de son côté, alors je ne voyais pas en quoi ça la gênerait de laisser la moitié de la place à une autre chatonne dans mon cœur !

- Par quoi commençons-nous ? Réveiller les anciens, les guerriers, les apprentis ? A toi de choisir !
Exitée, Petit Papillon me regardait d'un regard décidé. Puis ses yeux dérivèrent vers la pouponière, et il apperçu quelque chose qui noircit son regard. Incapable de me retenir, je voulais savoir, ce qui l'avit rendu, tout a coup, si en colère. PUis je vis une chatone qui avait enroulée sa queue autour d'un autre chaton, c'était Petite Flaque ! Mon amie, que j'avais rencontrer par hasard une nuit dans la pouponière, était a préset blotit contre le chaton.
Je vis une pointe de jalousie dans le yeux de Petit Papillon.
Je ne preferais pas insisté bien que ca me trottera dans la tête un bout de temps.
Muuum... Je voyais plutot une aventure hors du camp! Qu'en dit tu ?

Muuum ... Je voyais plutôt une aventure hors du camp ! Qu'en dis-tu ?

Une aventure hors de camp ? Oui, c'était une bonne idée, et nous avions moins de chance de nous faire prendre ! Il suffirait de faire comme le jour précédent, et de passer par le trou que nous étions les seuls à connaître ! Je me tournai les yeux brillants vers mon amie et murmura :

Oui ! Allons-y ! Mais cette fois, pas de gaffe !

Je lui fis un clin d'œil et me dirigeai vers la haie, suivi de Petite Pluie. Nous passâmes silencieusement, enfin, le plus silencieusement possible en tout cas, entre les feuilles qui frémirent tout de même. L'air encore frais de la forêt me procurait toujours cette sensation apaisante.

Où veux-tu aller ? Aux cascades ?

Je pensais réserver les endroits calmes et romantiques pour le coucher de soleil, et pensai qu'une bonne partie d'éclaboussures matinales pourraient être agréable. J'ondulai la queue tout en prenant le chemin du rideau argenté ...

Oui ! Allons-y ! Mais cette fois, pas de gaffe !

Il me fis un clin d'œil et se dirigea vers la haie. Je le suivit, nous passâmes silencieusement, enfin, le plus silencieusement possible en tout cas, entre les feuilles qui frémirent tout de même. L'air encore frais de la forêt me permettait de me concentrer et ne pas tomber en voyant le regard ambré de Petit Papillon posé sur moi.

Où veux-tu aller ? Aux cascades ?

Aussitot, une partie d'écaboussure me vint en tête!! Ca allait être une journée génial !
Bonne idée ! Le dernier arriver est une poule mouillée !!
Je n'attendit même pas sa réponse et partie comme une flèche vers les cascades !

Bonne idée ! Le dernier arriver est une poule mouillée !

Je n'eux même pas le temps de réfléchir à ces paroles que Petite Pluie partit comme une flèche, me frôlant au passage ! Alors, comme ça, elle savait où étaient les cascades ? J'étais tout à fait sur que non, et décidai que cela me faciliterait les choses. Je me lançai à sa poursuite, et, connaissant, par cœur les troncs couchés et les arbres serrés, parvint assez vite à la rejoindre. Mais la dépasser ne serait pas facile, car elle était plus rapide que moi ( 130/200 contre 120/200 ). Je décidai de filer ventre à terre en esquivant les troncs, tendit qu'elle perdait son temps à les enjamber ( ou les empatter ?). Finalement, lorsque le bruit de la casacde parvint à mes oreilles, nous étions côte à côte. je décidai de la dépasser dans un dernier souffle, mais elle tourna vivement et je pris en pleine poire un gros tronc d'arbre. je tombai, sonné. Lorsque je repris enfin mes esprits, Petite Pluie contemplai le lac, une lueur moqueuse dans les yeux.

Eh ! Cr'est de la triche, je n'avais pas vu cet arbre !

Je souris et la rejoint près de l'eau, laquelle produisait en tombant un vacarme assourdissant.

J'entendait le souffle de Petit Papillon qui se reprochait derrière moi.
Zut ! Il va me rattraper Mais malicieusement, je fit exprès de passer par l'abre qui avait une branche basse, ainsi, connaissant sa présence, je l'esquiva sans aucune difficulté. Quant a Petit Papillon, il se le pris en pleine poire !! Hilarde, je regoignit le bord de l'eau, en essayant de marcher droit.
Petit Papillon, encore sous le choc, mit quelque minutes a se remettre, si bien que je cru lui avoir fait très mal. Mais au moment ou j'allais m'approcher pour voir, il me regoignit, chancelant.
Je l'epaula juste qu'au bord. J'entendait son coeur battre a la chamade, tandis que je lui lechait le front, la ou il s'etait cogner. Il avit une petite bosse, mais elle serait vite partie je pense.
Tandis que je lui faisait sa toilette, il ronronait comme un bébé ! Surprise, je le devisageais. Puis je me dit que c'était le moment de lui poser la question que j'avais en tête depuis toute a l'heure:
Pourquoi a tu regarder Petite Flaque de cette facon toute a l'heure, avant de partir ?