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* Mon personnage
* Nom du minou :Nuage de Pierre
* Son âge (Merci d'aller dans le profil pour le définir en date de naissance) : 9 lunes
* Sexe :Mâle
* Compétences de mon chat (400 points à répartir) : Force : 180/200
Vitesse : 110/200
Agilité : 105/200
* Son groupe : Au choix: Clan du Tonnerre, de la Rivière, de l'Ombre, du Vent, Solitaire, Chat domestique. Clan de l'Ombre
* Son rang (s'il fait partie d'un des 4 Clans) : Aprnti-flèche
* Son histoire : (Minimum 10 lignes)«Tu es magnifique Patte de Pierre, tu as six lunes, bientôt viendra le jour où tu deviendras apprenti. Ce n’est qu’une question de temps. Vas jouer maintenant, si tu veux.
-D’accord maman. »
Je sors de la pouponnière et me, joins à ma sœur, et à d’autres chatons. Je bondis sur un mâle brun aux yeux verts et je lui mords sauvagement la queue. Il se sauve en couinant.
«Patte de Pierre ! Fais attention à toi ! Si je te reprends encore une fois, tu ne ressortiras plus de la pouponnière avant d’être nommé apprenti ! Viens ici ! »
Je m’exécute. La mère du petit mâle que j’ai blessé lèche son fils. Elle me suit du regard jusqu’à ce que je m’arrête devant ma mère. Elle me gronde fortement et regarde la reine d’un air désolé et gêné, puis elle me pousse dans la pouponnière. Je me couche auprès d’elle et je l’entends appeler ma sœur. Celle-ci s’endort très facilement car elle est fatiguée de se battre avec les autres chatons. Je suis aussi épuisé qu’elle et je m’endors contre ma mère. Je dors paisiblement jusqu’à être réveillé par des cris. Ma mère sort de la pouponnière en grognant. Je la suis et je ne vois rien dans le camp à part ma mère qui se place devant moi en crachant. Ma sœur se précipite dans le camp, voulant jouer, et c’est à ce moment-là que je lève la tête et vois un jeune faucon foncer sur la petite chatte sans défense. Il l’attrape entre ses serres et s’apprête à l’emporter. Ma mère s’élance, mais je suis plus rapide, je bondis, et je plante mes griffes dans ses plumes. Sous mon poids, il ne parvient plus à s’envoler, alors, des guerriers, accompagnés de ma mère, sautent sur le faucon. Celui-ci pousse des cris.
«Lâche ma sœur ! » Ai-je craché.
Puis je le mords à la nuque, ce qui l’achève. Ses pattes se desserrent et laissent ma sœur se sauver.
«Merci.» Dit-elle.
Je lui lèche l’épaule et nous nous apprêtons à rentrer dans la pouponnière, mais une voix m’arrête, c’est le chef du clan :
«Patte de Pierre, j’ai parlé à ta mère. »
Je le regarde, lui, puis ma mère, ainsi de suite, jusqu’à ce que mon regard se pose sur le chef. Celui-ci reprend :
«J’ai décidé, enfin, nous avons décidés, dit-il en regardant la reine, que ce soir, tu deviendras apprenti-flèche. »Mon visage s’éclaircit et je regarde ma mère avec joie.
«Mais… Qui sera mon mentor ?...
-Nous verrons, en attendant tâches de te montrer à la hauteur de ce rang.»
Mon visage s’éclaircit et je regarde ma mère avec joie. Puis, je fais ma toilette pour être bien propre. Ma mère va chercher un moineau sur le tas de gibier et viens se coucher à côté de moi et de ma sœur. Nous mangeons jusqu’à ce que ce soit l’heure de mon baptême. Le chef réunit le clan.
«Je vous ai réunis aujourd’hui pour nommer un nouvel apprenti-flèche. Approche, Patte de Pierre.»
Je m’exécute.
«Patte de Pierre, jusqu’au jour où, tu deviendras Flèche, tu t’appelleras Nuage de Pierre.»
J’entends des voix clamer mon nouveau nom. Je me retourne vers ma sœur et ma mère. Elles viennent me câliner et ma mère me couvre de coups de langue. Le soir, je vais dans la tanière des apprentis, et je me couche près d’une apprentie-flèche noire. Le lendemain, je fais mon travail d’apprenti-flèche : j’apprends à me battre, à chasser, à espionner, et je m’occupe des anciens. Et puis le soir vient, et je m’aventure dans le tunnel d’ajonc et m’engage dans la forêt pour aller chasser. Je reviens le soir de la chasse. J’ai attrapé un moineau, deux souris et un faisan. Je vais voir ma sœur et ma mère. Ma sœur à été nommée apprentie la veille. Là, elles sont en train de parler, je la montre les résultats de ma chasse. Elles en sont ravies. Ma mère rejoindra bientôt les anciens. Je me jure de m’occuper d’elle quand je serai Flèche. Je suis heureux, heureux d’avoir monté d’un rang. Je ressens un sentiment de fierté rarement ressenti depuis ma ten
