Faisons connaissance ! [PV Liberté ]

Le froid glaciale me chatouilla les narines. J' éternua. Atchoum !!! Je me réveilla en sursaut ! Je me retrouva dans la tanière des apprentis. Le froid y régnait. Il était à présent maître. Il faisez sombre, et je dûs battre des paupières durant plusieurs  minutes pour pouvoir  m'habituer  du noir. Était-ce la nuit  ? Je sortis  doucement  la tête de la tanière  des apprentis. Le silence  était  totale. La mauvaise  saison  était  bel et bien là. Plus les jours passaient, plus les nuits étaient longues... J'avais l'impression d'être pendant la nuit, mais il n'en était rien... À côté du gite des anciens, des guerriers tentaient tant bien que mal à réparer comme ils le pouvaient. Durant la nuit, le vent froid avait soufflé fort, tellement fort que quelque branche de la tanière des anciens s'étaient envolées au loin ! Du côté de lq pouponnière, des ronflements réguliers y ressortaient. Pratiquement tous les guerriers du Clan accompagnés de leur apprenti étaient déjà partit à l'entraînement. Sauf moi. J'appeçu vers le tas de gibier mon mentor, y déposer un maigre butin composé d'un moineau et d'un lapin menu. Les temps étaient durs, si difficiles que Flèche de Mousse n'avaient plus le temps de m'apprendre les ficelles du métier de guerrière au saint du Clan du Vent. Quelque chose me disait qu'elle n'avait pas vraiment le choix, mais de l'autre, je constatais tous les jours que les autres apprentis avaient le droit de s'entraîner avec leur mentor respectif. Alors pourquoi pas moi ! Comment voulait -on que je devienne la meilleure guerrière et que je trouve'ma place dans ce fichu clan sans que même mon mentor ne m'aide ! Je recula et donna un coup de griffe rageur dans un nid de mousse ! C'est injuste ! Criais-je dans ma tête. Je recula encore et encore, mais... PATATRA !!! Je trébucha sur quelque chose se trouvant derrière moi. J'effectua alors, sans le vouloirune roulade arrière, et me retrouvant dqns la position de la chandelle, les pattes sur les murs de la tanière et la tête sur le sol ! Je m'extirpa et tourna lq tête : aucun autre apprenti dans la tanière sauf moi ! Enfin... je m'approcha peu à peu de l'endroit où je venais de tribucher, et y découvrit une masse de poiles gris foncé, presque noirs. Je venais de tribucher sur un chat ! Je fis la grimace.