Journal de la rentrée

Test animaux

Vous avez choisi 3) en majorité :

Son mode de vie est très simple : manger, boire, respirer, manger, boire, respirer, manger, boire, respi...ouais, on a compris.
Amatrice de champs de blé , furtive et discrète. La souris, c’est un animal duquel certains humains ont peur. Pourquoi ? Il faut leur demander. Ce petit herbivore est tout sauf agressif ou carnivore. C’est un être insouciant qui mène une vie de joies simples, une vie très simple, mais pas sans dangers. Son principal atout étant la vigilance...et ce besoin insatiable de manger pour survivre. Seuls trahissent sa présence les bruissements soudains des hautes herbes sur le passage de son abri.
Ni vue, ni connue, cachée du monde et pourtant partout, loin et proche, c’est une proie facile et en même temps si agile...c’est un paradoxe vivant.

Vous avez choisi 1) en majorité :

Puissant, grand et fort, protecteur et bien organisé.
On le dit effrayant, criant à la lune pour informer d’un mauvais présage, on le dit féroce, sanguinaire, mortel. Il fut tué, insulté, accusé de tout. Mais c’est pour protéger sa famille qu’il décime les troupeaux, c’est pour cela qu’il défend son territoire et défie celui qui veut en franchir les lignes.
C’est le loup, le grand méchant loup, celui qu’on accuse des plus grands maux. Mais sous cette fourrure terreuse, sous ce corps haletant se cache un cœur battant dévoué à sa meute, ses enfants, sa famille, son couple alpha, ses frères et sœurs.
Un loup, c’est un être relié aux autres par un lien invisible et indestructible. C’est malgré tout un être solitaire, même s’il n’est jamais loin de sa famille, il peut toujours s’isoler, vivre sa vie à la recherche du bonheur. S’il est jugé méritant, il se sent capable de s’exiler, fonder une famille.
C’est un être du vent, de la forêt, c’est un corps de puissance et de sauvagerie, ce sont des yeux intelligents, un museau fin et perfectionné, des oreilles mobiles à l’affût, un pelage capable de résister à tout. C’est l’équilibre difficile à trouver d’un être fraternel et dévoué et du sauvage solitaire.

Vous avez choisi 4) en majorité :

Grandes oreilles, a l’audition panoramique, ce sont deux herbes parmi les herbes, mais des herbes mobiles qui bougent d’elles-mêmes. Expressives, elles se penchent, se couchent, se dressent, remuent, tremblent, bruissent, c’est comme si elles parlaient au vent, à la pierre et au sol. Du moins, elles les écoutent.
Elles se cachent, un long moment, seule la respiration de deux poumons et les mastications de deux dents les trahissent. De l’herbe vivante ? Non. Deux pattes puissantes le projettent en dehors du buisson, un lapin. Il se lève, renifle, écoute, court. Il est libre, il n’a pas de maître. Son territoire : une plaine, une forêt, les berges d’un lac, une montagne... Son monde est illimité, il peut être fait de tout, il peut se satisfaire d’un rien. Tant que l’herbe subsiste, qu’elle soit par plaines verdoyantes ou par touffes éparses. Il s’établit, il repart, il revient, il découvre, il se sédentarise, il vit nomade, il meurt mangé, il meurt vieux, dans un ravin, sur une route, sous une feuille. Sa fragilité fait sa force, elle fait de lui un être léger et insaisissable.
Il faut pour l’attraper la ruse ou la vitesse. Première science qu’il sait compenser par une stratégie instinctive, car ce n’est pas un animal très malin.
Sa vie est rythmée par les coups répétés des ses pattes puissantes sur le sol, au rythme du vent, sur une terre dure, marécageuse ou brûlée.

Vous avez choisi 2) en majorité :

Corps fin et rapide, pelage roux comme les feux de brousse, mauvais comme leur fumée. Ses yeux ne tentent pas tellement de se dissimuler. Il tue pour le plaisir autant que pour se nourrir. Il traque, il cherche.
Sa bouche ouverte à quelque chose d’effrayant, un rictus mal dissimulé, un vilain sourire sadique qui ne le quitte pas. C’est le sang et la désolation qu’il cherche, c’est la peur qu’il veut sentir, il préfère la souffrance à une mort lente, foi de renard, l’appétit est plus beau ainsi. Même repu, il scrute les airs à la recherche d’un oisillon tendant à tomber de l’arbre. On le croit rusé, mais c’est sa méchanceté qui semble le rendre intelligent. Grand tueur de poulaillers , il blesse sa victime même la sachant à porté de patte et sans résistance. C’est un serial killer qui vit au jour le jour, ne se souciant pas de ce qu’il adviendra demain. Seul compte le meurtre, l’abondance et la joie mauvaise.
La question n’est pas de savoir s’il mérite de vivre, il faut plutôt se demander comment lui échapper... Et vous, ce que vous voulez, c’est d’être repu de meurtres et de souffrance, vous aimez voir courir les lapereaux à votre approche ....

Vous avez choisi 5) en majorité :

Chant de joie, chant de peine, requiem, balade, chant d’amour, mélodie ou accompagnement. Il est le rêve de celui qui veut voler, Il est le modèle de celui qui chante...

♪ Celui qui chante rejoint le ciel et fait bouger l’or éternel. Il est heureux, malheureux comme nous, il cherche qu’il veut comme nous, mais quelque chose l’emporte au dessus de tout... Celui qui chante...celui qui chante retrouve la vie, retrouve le cri de l’enfant-dieu. Celui qui chante se sent grandi et sent sa force au bout des doigt. Il se cherche des raisons comme nous, il se pose des questions comme nous ; mais quelque chose l’emporte au dessus de tout... ♪

Hurm...bref...

C’est l’oiseau, la liberté incarnée, celui qui fredonne, celui qui vole, celui qui peut tout voir au dessus, celui qui peut regarder du dessous. Celui qui redonne le moral, qui fait écho à sa peine et celle des autres. C’est la paix, la victoire, la liberté et la droiture. La couleur, c’est parfois le ridicule, l’inutile et la parade, inspiration de la trop grande noblesse qu’il prend pour séduire l’autre. C’est le bonheur de la simplicité, juste aimer sa vie, ne pas vouloir plus, ne pas vouloir moins. Les oiseaux sont ceux qui ont un cœur fait de chansons.

Objet Mystère :

Une souris d'ordinateur et une tache d'huile de moteur x)