Sujet: in the dark - with Regard Etoilé Lun 23 Juin - 10:10
- Repeuplez-vous, monstres infâmes, puisse le sort du Satan vous conduisent dans des âmes impuissantes et que l'exorcisme fuit ! with Regard Etoilé
Encore une journée épuisante et inutile commençait. Quel ennuie de devoir passer ses journées dans la tanière des guerriers lorsqu'il fait une chaleur tel que dehors. L'éther était si lourd que lorsque l'on rencontrait un trait d'ombre, on devait vite y courir au risque de crever brûler. Personnellement, j'ai autre chose à foutre que de rester planter et attendre que cette journée se finisse.
On était tous serrer comme des sardines dans une boîte. J'aimais tellement pas ça. Ça me dégoûte. La sueur des autres chats se collant à ma peau noir, me stressait. Quelle bande de chat répugnant.
Quelques heures plus tard, qui me sembla au moins 78 lunes, le ciel se couvrit, épargnant l'épuisante chaleur du soleil. Dieu soit loué, il commença même à pleuvoir. Amen.
Les chats se précipitèrent dehors, profitant d'un peu de repos. Certains partirent en chasse pour profiter que toutes les proies soient réfugiés dans leurs tanières, pour pouvoir les tuer plus facilement. Le camp se vidait si vite que c'était presque choquant à voir. Nous étions plus que quelques chats à attendre la nuit tombante.
Un chat, dont je ne connaissais le nom, était à une queue de renard de moi.
Papa arrête, pas maintenant.
Je m'avançais vers le félin en question, griffes sorties, et j'attendais le moment fatal. Mes pattes arrières fléchis, j'étais derrière lui, les dents grinçantes. Je sautais sur lui, le plaquant alors sur le sol, souriant. Je ronronnais tel un chaton. Mes griffes étaient près de sa nuque. Pas maintenant.
Sujet: Re: in the dark - with Regard Etoilé Lun 23 Juin - 23:09
Voilà plusieurs jours que la chaleur était insupportable. Dès le matin, mon pelage noir était un fardeau et me faisait cuire littéralement à peine mon museau dehors... Je restais malgré moi le plus possible dans la tanière des guerriers, où beaucoup d'autres m'imitaient. Super... J'avais l'impression de sentir le clan du Tonnerre tellement je puais... J'aime le soleil, mais quand il ne reste que quelques temps, et qu'il fait une chaleur SUPPORTABLE.... J'avais tellement chaud, que j'avais littéralement refusé la patrouille de chasse du matin, et j'avais été contrainte de changer les litières des anciens à la place, comme punition. Mais au moins, je restais dans le camp, au frais. J'avais fini ma tache presque de bonne humeur, car la patrouille de chasse à laquelle j'aurai du participer n'était pas rentré elle... Une fois ma tache terminée, je n'avais même pas eu le courage de prendre une part de gibier. avec cette chaleur, le gibier restait cacher, et la pile de nourriture du camp sentait la charogne très vite... Je fini par aller m'installer au frais, dans la tanière des guerriers qui était presque vide, vu que la plupart étaient partis soit en patrouille de chasse ou bien frontalière. Cool, enfin la paix. Je remarquais seulement 2 guerriers installés dans leur nid. Je vins m'installer et me mettre en boule. Je commençais à m'assoupir, lorsque des miaulements me dérangèrent. Les patrouilles étaient de retour... Quelques minutes plus tard, la tanière se trouvait remplie, et la chaleur devint insupportable. Oh non c'est pas vrai... Poussant les guerriers pour essayer de sortir, je fini par atteindre l'entrée pour prendre l'air, lorsque tout d'un coup, le temps de voila, et cacha le soleil. L'air devint frais, et respirable. Les guerriers sortirent de la tanière pour aller manger le gibier qu'ils avaient rapporter. Je n'avais vraiment pas faim. Je fini par retourner dans mon nid, le remettant en ordre... C'est alors qu'un chat me sauta dessus, toutes griffes dehors, mais il ronronnait si fort qu'il aurait pu me rendre sourde...
Voilà plusieurs jours que la chaleur était insupportable. Dès le matin, mon pelage noir était un fardeau et me faisait cuire littéralement à peine mon museau dehors... Je restais malgré moi le plus possible dans la tanière des guerriers, où beaucoup d'autres m'imitaient. Super... J'avais l'impression de sentir le clan du Tonnerre tellement je puais... J'aime le soleil, mais quand il ne reste que quelques temps, et qu'il fait une chaleur SUPPORTABLE.... J'avais tellement chaud, que j'avais littéralement refusé la patrouille de chasse du matin, et j'avais été contrainte de changer les litières des anciens à la place, comme punition. Mais au moins, je restais dans le camp, au frais. J'avais fini ma tache presque de bonne humeur, car la patrouille de chasse à laquelle j'aurai du participer n'était pas rentré elle... Une fois ma tache terminée, je n'avais même pas eu le courage de prendre une part de gibier. avec cette chaleur, le gibier restait cacher, et la pile de nourriture du camp sentait la charogne très vite... Je fini par aller m'installer au frais, dans la tanière des guerriers qui était presque vide, vu que la plupart étaient partis soit en patrouille de chasse ou bien frontalière. Cool, enfin la paix. Je remarquais seulement 2 guerriers installés dans leur nid. Je vins m'installer et me mettre en boule. Je commençais à m'assoupir, lorsque des miaulements me dérangèrent. Les patrouilles étaient de retour... Quelques minutes plus tard, la tanière se trouvait remplie, et la chaleur devint insupportable. Oh non c'est pas vrai... Poussant les guerriers pour essayer de sortir, je fini par atteindre l'entrée pour prendre l'air, lorsque tout d'un coup, le temps de voila, et cacha le soleil. L'air devint frais, et respirable. Les guerriers sortirent de la tanière pour aller manger le gibier qu'ils avaient rapporter. Je n'avais vraiment pas faim. Je fini par retourner dans mon nid, le remettant en ordre... C'est alors qu'un chat me sauta dessus, toutes griffes dehors, mais il ronronnait si fort qu'il aurait pu me rendre sourde...
Tu veux être mon amie ?
Repoussant violemment le chat qui m'étouffait, je me redressais, le poil dressé sur mon échine... il avait failli m'égorger avec ses longues griffes et au final il me demandait tel un petit chaton d'être son ami. Lorsque je repoussais le chat, celui ci se retrouva sous un trou de la tanière qui filtra quelques rayons du jour et, je reconnu alors Folie Noire... Pourquoi lui ? Il était connu pour être vraiment bizarre... J'avais déjà du mal à supporter mon chaton adoptif de cette chaleur, alors un fou non merci...
Ton amie ? T'as quel âge ? Deux lunes ? On dirait un petit chaton qui vient de naître...
Mes crocs à découvert, je fini par me calmer légèrement, et m'assis, le regard rivé sur le matou noir. Il était vraiment curieux ce chat, mais, étant donné que tout le monde le rejetait, il y'avait de quoi devenir dingue...
Desolée d'être si désagréable mais tu m'as sauté dessus toutes griffes dehors t'aurai pu me blesser, et la chaleur me rends de mauvais poil...
Sujet: Re: in the dark - with Regard Etoilé Mer 25 Juin - 12:28
- Repeuplez-vous, monstres infâmes, puisse le sort du Satan vous conduisent dans des âmes impuissantes et que l'exorcisme fuit ! with Regard Etoilé
Met toi à l'aise mon nouvel ami, met toi à l'aise, je m'en fous que j'ai 2 lunes, je suis capable de te tuer en une fraction de seconde.
Desolée d'être si désagréable mais tu m'as sauté dessus toutes griffes dehors t'aurai pu me blesser, et la chaleur me rends de mauvais poil...
Oh tu t'excuses chérie mais voyons ne te sens donc pas obliger, j'ai fais bien exprès de te sauter dessus, je compte même aller plus loin, je compte t'arracher la tête, cracher dessus, uriner sur ton vieux corps sale, l'enterrer à côté de la tombe de mon père puis flamber un corbeau au dessus de la terre cramoisie où tu reposeras. Allez laisse toi faire tu sentiras rien bébé, je t'aime. Oh oui je t'aime à la folie, tu vas le savoir tantôt. Je vais te déclarer ma flamme qu'il y a au plus profond de mon coeur si blessé durant toutes ces années.
Mes griffes blanches me criaient à mes oreilles, elles criaient d'impatience. Je leur disais, patience mes chéries, l'heure viendra bientôt, soyez patientes mes enfants.
Le chat était face à moi, les sourcils froncés. Je vais te tuer lalala ~
Je ressautais sur lui et le plaquai, le maintenant férocement. Je plantai à son épaule droite mes griffes qui maintenant étaient très contente de pouvoir servir à tuer. Ma vie est une boîte à musique incessante et recombinante, tu es ma futur victime et je te torturerai jusqu'au bout.
Sujet: Re: in the dark - with Regard Etoilé Mer 25 Juin - 14:21
[Bizarre ton perso', j'ai pas vraiment l'habitude de me battre dans le camp avec un allié]
Je regarde Folie Noire, ce chat semblait completement à coté de la plaque. J'allais me calmer, lorsque celui ci se jette sur moi violemment et me menace avec ses griffes plantaient dans ma gorge. C'est quoi son problème à lui ? Je le pousse de mes pattes arrières, et me jette sur lui, le plaquant au sol avec une force colossale. Il ne va pas m'enerver celui là, Ce n'est pas un guerrier attardé qui va me saouler.
C'est quoi ton problème espece de cervelle de moineau !! Tu te prend pour un solitaire ? Tu es aussi stupide que les guerriers du clan du Tonnerre, si tu veux passer tes nerfs va voir sur les frontières ennemis ils s'occuperont de toi !!!
Je suis toujours plantée sur mon ennemi, feulant de rage, mes griffes plantées dans sa gorge, le sang coulait sur le sol de la tanière. Ma fourrure avait doublé de volume, mes yeux, gros comme ceux d'une chouette, sortait de leur orbites. Je me dégage de ma prise qui était plaquée au sol, et je sors de la tanière, le poil en vrac, les muscles contractés sous ma fourrure noire...
Sujet: Re: in the dark - with Regard Etoilé Jeu 14 Aoû - 16:30
C'est quoi ton problème espece de cervelle de moineau !! Tu te prend pour un solitaire ? Tu es aussi stupide que les guerriers du clan du Tonnerre, si tu veux passer tes nerfs va voir sur les frontières ennemis ils s'occuperont de toi !!!
J'haussais les sourcils. Ma nuque était enchevêtrée, ensanglantée. Il se dégageait de suite après ces inutiles paroles et disparut aussitot dans le camp vaste. Il avait surement peur de se confronter à moi, c'est sur.. ! Je toussotais tandis que je me remettais sur patte. Les yeux rouges, je me mis à boiter moi aussi en dehors de la tanière des guerriers, sous les regards approbateurs de mes "camarades". Je leur crachai aux pattes tandis que je fis un petit bond au dessus de la barrière épineuse qui servait de bannière à la tanière. Le camp était presque vide. Sans doute les guerriers étaient trop épuisés en ce moment, pour je ne sais quel raison, sans doute. Je baillai. Le sang coulait et donnait au sol une nouvelle couleur pourpre. Les yeux gros, je me suis dis que je devais me soigner et vite. Je boitai vers la tanière du guérisseur et je rentrai, me laissant tomber une fois rentrer. Je laissais le guérisseur venir aussi vite et prendre soin de mon corps. Allez esclave, soigne moi, pour que je puisse prendre vite ma revanche...