Présentation Lune Silencieuse

* Mon personnage

* Nom du minou : Lune Silencieuse
* Son âge (Merci d'aller dans le profil pour le définir en date de naissance) : 12 lunes
* Sexe : Femelle

* Compétences de mon chat (400 points à répartir) :

Force : 100/200
Vitesse : 150/200
Agilité : 150/200

* Son groupe : Clan du Tonnerre
* Son rang (s'il fait partie d'un des 4 Clans) : Guerrière
* Son histoire : (Minimum 10 lignes)
Un quart de lune était passé depuis l'instant où elle avait vu le jour. Pelottenée contre sa mère avec ses deux frères, elle ne pouvait avoir conscience du tourment de ses parents.
Qu'allons nous donc faire d'eux ? Pensait le père, un matou brun musclé. Il ne souhaitait pas partager ses doutes quant à l'avenir des chatons avec sa compagne mais comme toujours, celle-ci semblait lire dans ses pensées.
"_ Ne t'inquiète pas, mon clans manque de combattants, il acceptera ces petits avec joie. Tu pourras les voir lors des assemblées.
_ Toi-même tu ne pense pas ce que tu dis ! Ce sont des clans-mélés, qui voudra d'eux ? Et quand bien même un clans aura accepté de les garder, ils subirons les railleries des autres tout leur vie !"
Le regard de la femelle se voila, son compagnon venait de prononcer des mots qu'elle tentait vainement de repousser depuis la naissance de sa progéniture. Elle ferma brièvement les yeux. Lorsqu'elle les rouvrit, la détermination avait remplacé la tristesse.
"_ Alors ramène-les dans ton clans, et dit aux tiens que tu les a trouvés dans la forêt. Ton chef est compatissant, il les recueuillera."
Le mâle la regarda, stupéfait :
"_ Mais ils grandiront auprès d'une autre mère ! Jamais ils ne sauront que tu les a mis au monde, toute leur vie, ils ne te considèreront autrement qu'une guerrière ennemie !
_ J'en ai conscience. Mais je veux avant tout le bonheur de mes petits. Trouve leur une mère qui s'occupera d'eux comme s'ils étaient ses proprent petits s'il te plait."
Son compagnon la regarda dans les yeux, il y lu tout l'amour du monde. Comprenant à quel point cette décision était difficile pour la chatte, il ne répondit pas. La chatte donna un coup de langue à chacun des chatons avant de les pousser délicatement vers leur père qui les fit se lever, malgrès leurs miaulements de protestation. Il jeta un regard indécis vers leur mère qui hocha les tête. Alors, il poussa tendrement les petits qui firent quelques pas maladroits devant eux. L'un des mâles trébucha et s'étala de tout son long. Son père le releva et le poussa gentiment vers l'avant. Progressivement, les chatons prirent de l'assurance et acquirent une démarche plus stable. Le grand matou compris qu'ils arriveraient à faire le voyage jusqu'à son camp. Il lança un ultime regard à sa compagne qui observait sa progéniture, enfin, elle pressa son museau contre celui de son compagnon et disparu dans les fougères, en direction de son clan. La mâle se tourna vers sa progéniture qui tournait à présent autour d'un pissenlit et les poussa du bout du museau vers la direction opposée. Ils partirent en titubant sous le regard attentif de leur père. La petite troupe marchait depuis quelques minutes lorsqu'un cri déchira le silence. Aussitôt, le matou brun se mis sur ses gardes, l'oreille aux aguets. Les petis, désorientés par le brusque changement d'attitude de leur père, se mirent à pousser de petits cris aigus. Soudain, le sol se mit à trembler. Les chatons se turent immédiatement. Le grondement se rapprochait, ainsi qu'une puanteur indescriptible. Les oreilles plaquées sur son crâne, le poil hérissé par la peur, le guerrier scrutait l'ombre qui l'entourait. Il avait déjà sentit cette odeur par le passé, ce jour là, son meilleur ami est mort. Tué par la bête qui rodait.
Un blaireau.
Le chat se tourna vers l'endrois d'où provenait le bruit, pret à tout pour protéger ses petits. Il savait qu'il n'avait aucune chance seule face à un blaireau. Mais losque le museau sombre du prédateur émergea d'entre les arbres, il n'hésita pas une seconde. D'un coup de patte, il poussa les chatons dans une congère dissimulée par un rocher et sauta sur la bête pour lui labourer le dos à coup de griffes. Fou de rage, le blaireau rua, mais le chat tint bon. Alors, le monstre chargea un arbre, pour déséquilibrer le matou. Cette fois-ci, le guerrier tomba rudement au sol. Le blaireau n'attendit pas qu'il est repris ses esprit pour agir, il leva l'une de ses énormes pattes et l'abbatit avec force sur le matou. Il mourru sur le coup.
De leur abri, les chatons ne pouvaient voir se qui se passait. Mais dès lors que les bruits de combat se furent arrêtés, ils comprirent que quelque chose clochait. Pourquoi leur père ne venait-il pas les chercher maintenant qu'il avait repoussé le monstre ? Le plus hardi des mâle risqua une patte dehors... puis l'autre... et, malgrès les mises en garde de son frère et de sa soeur, sortit dans la clairière. Il attendit quelques instants, mais rien ne se passa. Il se mit donc à fanfaronner en tournant en rond la queue bien haute sous les yeux des deux autres chatons appeurés. Il leur fit signe d'approcher, mais aucun d'eu ne bougea. Irrité, il leva les yeux au ciel et apperçut la pleine lune au dessus de sa tête. Ce fut la dernière chose qu'il vit de sa courte vie, car une immense patte, déjà couverte du sang de son père, lui brisa la nuque quelques instant plus tard. Dans la congère, les deux petits n'osaient plus respirer. Ils ne pouvaient que regarder avec effroi une tête sombre rayée de blanc se pencher pour renifler le cadavre de leur frère, puis se tourner dans leur direction en fixant leur abri de ses petits yeux cruels. Les chatons étaient imobilisés par la peur, mais lorsque le blaireau leva une patte vers eux, la femelle repris ses esprits. Elle se mit à creuser frénétiquement la terre de ses petites pattes, cherchant à s'éloigner le plus possible de la bête qui avait tué son père et son frère. Elle creusait de plus en plus profondément, mais ses courtes pattes ne pouvaient dégager que peu de terre tandis que le blaireau n'était plus qu'à quelques queues de souris de leur repère. Elle entendit un petit cri aigu, se retourna, et vit son frère tétanisé par la peur. Elle cria pour le sortir de sa torpeur mais il était trop tard, dans un craquement sinistre, la patte assassine mis fin à la vie de la petite boule de poils. La petite chatte n'eu pas le temps de le pleurer longtemps car le blaireau avait enfouit son museau dans la congère. Surement pour trouver d'éventuels survivants. La petite se tapis dans le petit tunel qu'elle avait eu le temps de creuser, le plus loin possible de la bête. Elle sentait son souffle chaud mais l'odeur du sang de son frère masquait la sienne. Le blaireau repartit donc persuadé qu'il ne restait aucun chat dans les parages.
La femelle attendit de longues minutes avant de bouger. Dehors, tout était calme. Mais elle ne fesait plus confiance aux bruits de la forêt. Lorsqu'elle fut certaine que le monstre était partit, elle lecha une dernière fois le poitrail de son plus jeune frère avant de sortir de son abri, qui d'après elle ne méritait pas ce nom. Elle donna également un coup de langue à son frère ainé, lui n'avait pas eu le temps de connaitre la peur. Elle continua son chemin jusqu'au cadavre de son père. Elle enfouit son museau dans sa fourure emmélée avant de quitter la clairière. Elle ne souhaitait pas rester plus longtemps dans l'endroit où sa vie venait d'être détruite.
Elle s'enfonça donc dans la forêt, marchant au hasard. Elle cheminait depuis quelques minute lorsqu'elle buta contre quelque chose. Dans l'obscurité, elle ne parvenait pas à voir de quoi il s'agissait. Mais losqu'elle en approcha son museau, une odeur de lait lui revaint. Une odeur douce qui avait bercé son enfance jusqu'au drame, mélée à celle du sang. Celle de sa mère. Sans doute était-ce elle qui avait poussé le cri qui avait allerté son père avant l'arrivée du blaireau. Du blaireau qui avait décimé toute sa famille.
Alors, folle de chagrin, elle se mit à courir. Sans regarder derrière elle. Elle couru jusqu'a ce que ses pattes ne la portent plus. Elle ne savait pas où elle se trouvait. Elle s'en fichait. Elle eu juste le temps d'espérer que la mort la prendrait elle aussi, l'emmenant dans un monde où elle retrouverait son père, sa mère et ses deux frères, avant de sombrer dans l'inconscience.
Une reine du clan du Tonnerre venait de perdre deux de ses chatons, emportés par la maladie. Elle courait, seule dans la forêt, laissant libre cours à sa peine. Folle de douleure, elle s'ennivrait de la course, oubliant son chagrin dans les senteures de la forêt. Elle inspira une grande bouffée d'air et sentit tout se qui faisait sa vie : les feuilles des arbres, la terre, le gibier, le sang... Elle s'arrêta net.Du sang ! Mais d'où venait donc cette odeure ?Elle s'approcha de sa source et vie une forme immobile sur le sol... un chaton ! Aussitôt, sa peine lui revint, mais elle s'approcha de la petite boule de poils recroquevillée au sol. Elle donna lui un petit coup de museau et la petite remua faiblement. Elle était en vie ! Mais son état était critique : couverte de sang, elle ne semblait pas encore en âge de quitter la pouponière. Son instinct de mère lui hurlait de la recueuillir. Elle pris délicatement la petite chatte par la peau du coup, et la ramena au camp. Elle avait bien assé de lait pour la nourir et son chef de clan ne laisserais jamais un chaton innocent mourir sous ses yeux.
Elle la porta donc à son clan, où elle fut accueulli par quelques grognements. Mais son clan savait qu'elle avait souffert de la perte de ses autres chatons et reconnaissait qu'ils avait besoin de guerriers. Elle fut donc acceptée.
Déjà chaton, la petite jouait rarement avec les autres. Elle restait dans son coin et observait la vie du clan san dire un mot. Lorsqu'elle prenait la parole, ses remarques étaient très pertinentes et elle ne parlait jamais pour ne rien dire.
Losqu'elle fut nommée apprentie, Nuage Silencieux compris que pour vivre sa vie, elle devrait parler. Son mentor avait la langue bien pendue, il était gentiment moqueur et une lueure amicale brillait toujours dans ses grands yeux expressifs. Les deux félins, pourtant différents, s'entendirent à merveille et peu à peu sous les encouragements de son mentor, elle s'ouvrit au monde.
Son entrainement terminé, elle était devenue une chatte vive. Elle gardait son coté un peu solitaire, mais était toujours prête à lancer une réplique mordante, chose qu'elle avait hérité de son mentor, sûrement. Une fois que vous la connaissiez bien, elle pouvait se montrer drôle et amicale en toute circonstance, mais la nuit venue, dans ses yeux luisait toujours une lueure de tristesse infinie et d'une maturité que la plupart des chat n'aquissent que losqu'ils s'en vont vivre avec les anciens.

* Son caractère : (Minimum 5 lignes)
Au premier abord, Lune Silencieuse paraît plutôt solitaire. Si vous n'allait pas à sa rencontre, ce n'est pas elle qui le fera. Mais lorsque vous vous êtes lié d'amitié avec elle, elle se montre vive et drôle. Dotée d'une volonté de vivre et d'une détermination à toute épreuve, elle tenterait tout pour protéger ceux qu'elle aime. Elle possède également une compassion extraordinaire et ne laisserait jamais mourir un chat sous ses yeux. Mais comme tout être vivant sûr cette planète, elle à aussi des défauts. Le plus gros et sans doute sa rancune. Elle ne pardonne pas facilement la trahison, même invoulue. Si vous voulez regagner sa confiance, il vous faudra bien du temps et de la détermination.
Bien que personne ne sache pourquoi, elle nourrit également une haine sans égard pour les blaireaux.

* Son physique : (facultatif)
Fine et élancée, voilà comment la décrire au premier abord. De nuit, son pelage se font totalement dans l'obscurité, de telle façon que si vous regardiez dans sa direction, vous ne verrez que deux grands yeux d'un bleu éclatant où se reflète une tristesse infinie ainsi qu'une sagesse prématurée. Son pelage noir profond est parcurut de légers reflets bleutés qui font miroiter la face ronde de la lune.



* En ce qui me concerne..


* Mon prénom : Clarisse
* Mon PUF :
* Ce que j'aime : [...]
* Ce que je n'aime pas : La liste est longue... mais je pense qu'on pourrait placer en tête les traitres, les lâches, les insectes et la technologie.
* Couleur de mes chaussettes : Blanches...
* Ai-je la possibilité de venir régulièrement ici ? Je ne sais pas... Je ne pense pas venir tout les jours, non.
* Mon avis sur ce forum : J'adore La Guerre des Clans et tout ce qui touhe ce sujet, alors je trouve se forum génial ! Et je trouve les graphismes très beaux.
* Comment l'ai-je découvert ? Comme je l'ai déjà dit, j'adore La Guerre des Clans, alors je suis venue ici au hasard, pour voir ce que c'était.

* Règlement lu ? Oui !
* Le code : Nuée a fait la vaisselle

Bienvenue (:

Bienvenue :D

Bonne chance pour le reste!

Bienvenue sur le forum !

Très bon choix de clan !! J'aime bien ton histoire.

Bienvenue parmi nous !

Le code est bon, le nombre de lignes largement je crois aussi XD
Il te manquera donc une signature représentant ton personnage pour être validée ^^

Merci beaucoup ! La signature, ça va là ?

Elle est magnifique :) Mais trop grande :/

C'est 600*300 max :/

Et maintenant ?

C'est bon, Tu es validée ;)