Story ~~ By me

Extrait de My Story ^^ (pas encore trouvé de titre)

Deux narrateurs. Moria et Poseidon(surnom)



J’avais quinze ans, en ces temps-là.
Je vivais sur l’île de Uadriquila, cette parcelle de terre se où côtoyaient les quatre fameuses Pensions si réputées à travers l’univers actuel. Selon les livres d’histoire, le monde n’en a pas toujours été ainsi. Autrefois, la Terre était sertie de continents divisés en pays ayant chacun leur gouvernement. Mais les temps ont changé. Les mœurs ont évolué en même temps que les cartes et le fonctionnement des Etats. Les territoires désormais totalement différents des anciens furent divisés en quatre. Quatre « Pensionnats ». Plus de Royaume, de république, ou d’états libres. Simplement ces « Pensionnats » dirigés par des directeurs qui gouvernent avec justice le sol pensionnaire. Avec justice, peut-être, mais pas avec paix. Les quatre divisions du monde se livrent bataille depuis leur création. Même monsieur High, mon professeur d’histoire, qui assure la véracité des informations que je viens de vous narrer, n’en a aucune idée valable. Les plus romantiques m’ont exposé l’hypothèse d’un amour interdit entre deux pensionnaires ennemis. A l’époque, cela m’avait paru complètement idiot et insensé. « On n’avait jamais vu ça et on ne le verrait jamais » m’étais-je dis, comme l’imbécile que j’étais jadis, et que je suis sûrement toujours. L’idée de croire ces fous de romans d’amour et de scènes dramatiques entrecoupées de baisers fougueux ne m’avait même pas traversé l’esprit. A présent, cela m’apparaît peut-être presque comme une évidence.
A l’époque, j’étais en troisième année de collège, dans l’académie mixte de Uadriquila. Ce que j’entends par mixte, c’est que l’établissement accueillait les élèves de toutes les Pensions différentes. Bien entendu, les cours n’étaient pas communs, les dortoirs et les sorties non plus. L’école était même dirigée par quatre proviseurs qui géraient chacun des pensionnaires différents. Les relations entre ennemis étaient même interdites, sous peine de renvoi. Pour certaines personnes étrangères à mon univers, ces règles et organisations auraient pu paraître réellement et vraiment trop poussées mais, pour moi comme pour mes camarades, la seule perspective d’être dans le même bâtiment que ces étrangers -qui vivaient tout de même sur le même îlot que nous, ou pire, les croiser dans les couloirs entre les cours, était effrayante, révoltante et peut-être un supplice.
En ce qui me concerne, je suivais les cours qui m’étaient assignés. Etant né d’une famille originaire de Magister, j’étudiais la magie. Mon don était flagrant et inné dans ce domaine mais je n’étais malheureusement pas originaire de l’île mère Retsigam, ce qui aurait été le passeport vers mes études à la capitale. Enfin, j’en étais déçu jusqu’à ce jour…ce jour où on m’envoya en mission, pour la première fois.
Les professeurs avaient une grande estime pour moi, malgré l’école buissonnière que je pratiquais régulièrement et l’attention que je portais la plupart du temps aux paroles que les enseignants déballaient en paquets pendant des heures, longues et si ennuyeuses, qui ne faisaient que répéter ce que je savais déjà. La bibliothèque était et sera toujours ma maison première et c’est sans doute elle qui a fait le plus gros de mon éducation. Mon savoir était donc en avance sur le reste de la classe et cela désolait les plus érudits des professeurs qui auraient aimé accélérer leur cours rien que pour m’enseigner un minimum, histoire de partager leurs connaissances et de m’en faire profiter, ce qui les aurait comblé de joie.
Tout cela pour dire enfin que ces mêmes personnes me tenaient haut dans leur estime et décidèrent donc de m’envoyer, plus tôt que le programme scolaire le prévoyait, en mission. Mon ordre était simple et direct : libérer une jeune fille capturée sur l’île de Acytsim et de la ramener sur Uadriquila. J’étais alors tout excité de pouvoir enfin tester mes capacités sur un vrai terrain et pas contre un bout de bois ou un camarade de classe –mon partenaire d’entraînement laissait d’ailleurs habituellement tomber au bout d’une trentaine de secondes, désespéré devant la facilité avec laquelle je réussissais les exercices les uns après les autres. J’avais réellement envie de mener à bien cette mission. Pas pour le bonheur de mes petits professeurs, qui auraient peut-être été, en fin de compte, plus désespérés que heureux, comme mes camarades de classe. J’acceptai donc ce défi que je prenais comme un entraînement, sans doutes ni appréhension, remerciant juste le personnel enseignant de m’accorder un sujet d’amusement dans ma routine quotidienne si ennuyeuse. Au moins, ma vie changeait un peu
Je pense qu’ils n’ont pas idée du tournant qu’ils ont si soudainement imposé involontairement à ma vie. Un évènement si inattendu, tel une révélation.
Encore maintenant, je continue de les bénir de toute mon âme, si souillée soit-elle. Et moi, je me maudis. Encore, toujours et à jamais…





Ce carnet que je commence en ce mercredi 24 octobre de l’année 1786 de l’aire pensionnaire n’aura pas pour but de raconter ma vie. Il bifurquera peut-être sur quelques détails de mon existence, car j’estime humblement qu’ils ont une importance plus ou moins forte dans ce récit.
Je désire seulement parler d’une personne. Un être humain formidablement extraordinaire. Je pense qu’elle a changé ma vie. Elle me l’a aussi sauvée plus d’une fois. Cette jeune femme qui n’a jamais hésité un instant à se lancer dans le combat, toujours le sourire aux lèvres, toujours ce même cœur de guerrier, toujours cette attitude masculine, toujours ce courage fascinant, toujours cette même allure brutale et toujours ce regard intensément flamboyant. Cette fille nommée Kam, qui a été dès le début la plus précieuse amie que je n’ai jamais eue.
Je me nomme Moria. Je suis née sur l’île réputée de Acytsim. Pour les incultes qui ne connaîtraient rien au monde Pensionnaire, cette terre si bien protégée par ses forêts denses et mystérieuses est peuplée d’une myriade d’étranges créatures qui ont toutes comme seul point commun leur intelligence surnaturelle. Fusionnez la matière grise de trois génies humains et vous obtiendrez un citoyen moyen de Acytsim. La plupart des habitants de cette Pension sont en réalité des hybrides. J’entends par ce mot, si anodin pour moi, que ces êtres ne sont tous simplement pas humains et que dans leur sang circule cette bactérie, considérée comme une toxine pour ceux qui ne la possèdent pas, appelée MxI. Je ne sais pourquoi on l’a nommée ainsi, cela remonte il y a tellement longtemps que la plupart des citoyens Acystimîtes ont oublié la signification de ces trois initiales. Mon hypothèse première serait de « Mental extraordinairement intelligent ». Ces mots viennent d’une langue morte que certains apprennent encore aux cours supplémentaires : le Français. Personnellement, je trouve ce dialecte très complexe et énormément ennuyeux à assimiler. Les consonances sont on ne peut plus irrégulières et la grammaire et l’orthographe le sont encore plus. Malgré tout, j’ai persisté et ai réussi à emmagasiner entièrement ce langage après au moins une année d’étude entière –en sachant que l’anglais et l’espagnol ne m’avaient pris qu’un mois, je trouve cela assez poussé et garde donc un très mauvais souvenir de mon expérience en matière de français. Tout cela pour en conclure que cette bactérie présente dans notre sang, à nous les Acystimîtes, nous procure donc une habileté intellectuelle hors du commun et nous place au-dessus du reste de la population question réflexes cervicales. Ce n’est pas le seul effet que le MxI provoque sur notre anatomie et certains sujets sont plus affectés que d’autre. Je parlerai peut-être plus tard de l’influence de la bactérie sur mon organisme mais j’estime que cela ne vaut pas la peine de l’évoquer pour le moment, nous sommes après tout ici pour raconter l’histoire de quelqu’un d’autre que ma très minime personne.
J’avais déménagé de mon île natale à l’âge de sept ans et arrivai telle une étrangère sur Uadriquila. J’avais eu vents de la cohabitation des quatre Pensions sur ces terres et découvrir cette population si étrangement différente de la mienne m’attirait. Je décidai donc de choisir l’endroit le plus stratégique pour observer l’attitude des jeunes pensionnaires : le collège Jigo. En dialecte local, je savais, grâce à un livre de tourisme emprunté à la bibliothèque de mon village, que Jigo signifiait « savoir ». Un nom évocateur de choses assez intéressantes pour que je m’y inscrive.
Je m’exécutai donc et me renseignai immédiatement auprès du directeur responsable des pensionnaires de Acystim. Dès qu’il me vit arriver, il m’ordonna de me tourner vers le proviseur Mürei qui avait la charge des arrivants de Atanih, l’île constituée des simples humains. J’en fus d’abord vexée mais me rappelai immédiatement l’aspect si ordinaire que j’avais alors. Personne ne pouvait se douter de ma provenance, à part en me faisant passer un test intellectuel. J’avais parfaitement l’air d’une humaine Atanihienne. N’ayant pas envie de mettre à jour mon apparence réelle, je me résignai à m’inscrire sous le statut que m’avait assigné le proviseur d’Acystim. Je le détaillai une dernière fois, remarquant ses oreilles inexistantes, sa langue fourchue qui produisait des « ss » très longs et sa peau complètement recouverte d’écailles luisantes variant des tons de verts à ceux des marrons. Un hybride-serpent, sans aucun doute. C’étaient là des signes de modifications de l’anatomie dus au MxI, sans conteste. Lorsque je voyais des êtres si étrangement inhumains, je me réjouissais égoïstement de ma normalité apparente. Ces hybrides étaient tellement disgracieux... Je préférais décidément ces citoyens étrangers à Acystim, qui possédaient sans aucun doute une beauté supérieure à celle de ces créatures mutantes. Je repassai dans ma tête les différents aspects déformés que j’avais déjà pu croiser auparavant et l’image des elfes et des naïades m’apparut. Je me rappelai alors de leur grâce sans pareil, de leurs mouvements de ballerines, de leurs yeux purs et de leur voix fine et chantante. Après un millième de seconde de réflexion, je révisai mon jugement et finis par me dire qu’il n’étaient pas tous si laids, ces hybrides. Un instant encore, j’osai me rappeler d’un autre détail à propos de ces merveilleuses créatures, plus appétissant, plus alléchant, plus macabre. Cela m’arracha un sourire et je ne pus m’empêcher de passer ma langue sur mes lèvres pâles. Me secouant la tête pour chasser ces pensées, je fis marche arrière, me maudissant d’arriver à ressortir ces souvenirs si maussades et horriblement gênants.
Je m’éloignai donc, rencontrant au passage quelques élèves. Certains me frappèrent par leur beauté, d’autres simplement parce qu’ils étaient devenus complètement des animaux, effet secondaire du MxI. Mon regard croisa un instant celui d’un jeune homme dont l’aura me troublait. Ses cheveux bleus tombaient en mèches sur son visage délicatement fin, recouvert de peau étonnamment blanche –j’osai la comparer à la mienne, estimant tout de même que le teint lui allait mieux à lui qu’à moi. Ce qui me frappa le plus fut ses yeux, profonds, gris perle, si envoûtants. Je me rappelai un instant que je n’avais que sept ans et lui sans doute neuf et revint à la réalité. Je n’étais pas dans un de ces romans à l’eau de rose dans lequel on tombe l’un sur l’autre, dans une étreinte soi-disant accidentelle. Je me secouai et jetai un dernier regard au garçon si élégamment intéressant. Je m’aperçus qu’il était accompagné d’une jeune fille, la douzaine, sûrement, qui me fixait d’un regard si noir que je dus baisser les yeux, impressionnée par cette animosité.
Je sortis du rez-de-chaussée de l’immense tour, autant en largeur qu’en longueur, qui renfermait la totalité des locaux et dortoirs de l’établissement Jigo. L’édifice me laissa un instant pantois et je restai ébahie devant cette énorme flèche toute de marbre formée qui s’élevait au-delà de ce que ma vue pouvait percevoir, moi qui avais l’équivalent de 20/10 à chaque œil. Je remarquai des marches, de la même matière que l’immense bâtiment, qui tournaient tout autour de celui-ci, grimpant jusqu’au sommet, du moins je l’imaginais, car ma vue n’était malheureusement pas assez surpuissante pour percevoir le toit de la tour. Je m’engageai enfin sur ces escaliers blancs, grimpant quatre à quatre les monticules anguleux qui se succédaient devant moi. J’arrivai au vingtième étage, exténuée. La montée m’avait pris trois bons quarts d’heures. Mes capacités physiques ne rattraperaient jamais celles mentales. Ce fut avec des jambes pesantes et lourdes que je trébuchai, mes faiblesses musculaires se faisaient sentir trop fortement, et me rendis compte, un peu tard, que la seule rambarde qui me séparait du vide à ma droite était inexistante. Je balançai sur un pied mal équilibré et me préparait à plonger dans le vide. La vue du sol à des centaines de mètres plus bas me fit perdre la tête et je ne fus plus consciente, l’espace d’un instant, le temps de basculer complètement vers le vide, si profond et effrayant. Je fermai les yeux. Tout à coup, je sentis une poigne forte m’agripper la cheville et je me retrouvai à l’envers, suspendue au-dessus des nuages qui voletaient dans l’air humide. Mon cœur se remit à battre après son instant d’inactivité. Je me remis rapidement de ma frayeur et fixa la main gantée qui me remontait doucement. D’un mouvement brusque, faisant claquer le poignet qui m’enlaçait la jambe vers le haut, mon sauveur me fit voler en l’air et me saisit dans ses bras. C’était une jeune fille aux yeux d’un extraordinaire bleu azur qui me regardait en souriant. Elle devait avoir un ou deux ans de plus que moi mais me soulevait sans la moindre hésitation, elle me tenait à bout de membres, sans trembler, comme si je ne pesais que quelques plumes. Je n’osai briser l’instant présent, si fascinée par son sourire serein. L’ange, car il n’y avait pas d’autre mot pour la qualifier, ne me déposa pas à terre et me remonta lestement en sautant les marches deux à deux. J’arrivai ainsi au vingtième étage en quelques secondes. Je n’arrivai pas à bouger. Mon esprit ne s’était sans doute pas encore rendu compte que je n’allais plus plonger dans le vide. La créature, sans doute humaine, fut secouée un instant par un coup de vent violent qui nous ébouriffa les cheveux à toutes les deux. Il me parut audacieux de ma part de la regrouper, elle et moi dans un seul et même mot qu’est le « nous » car elle n’avait strictement rien en commun avec ma modeste personne. Elle était si…charismatique. Si j’avais été dans les bras d’un homme, je crois que j’aurais pu qualifier cette rencontre de coup de foudre.


Tiré de l'univers de pensions war ^^ Merci à Rd'E qui a contribué à sa création.
J'ai 20 pages d'histoire pour l'instant, si vous voulez la suite, c'est cinq euros xD non, je rigole^^ quoique... Je la mettrai surement après ;)

J'espère que vous avez aimé ^^

Tu l'as mise! =D
Mais de rien mon pentacle! =)

Euh... un petire réduc' ? Puisque c'est moi hein !
Génial ton histoire, on peut dire que tu as eu de l'inspi !

idem que NdE ton histoire et trop bien !
:=p:

on veut la suite on veut la suite


* sors*

Contente que ça plaise =D J'ai 36 pages, je les mets d'un coup? Non, je rigole ^^
Je vous mets la suite dans ... 15 mn xD

Edit : voilà, un peu moins de 15 minutes mais pas grave^^
Elle pénétra à l’intérieur de la tour, par une des énormes portes de vitres rouges à ouverture électronique qui permettaient l’accès à ce fameux vingtième étage. La chaleur envahit la pièce, sans doute une aération automatique…ou magique. Ma sauveuse serait-elle issue de Retsigam ? Je ne m’autorisais aucune parole et me laissais déposer à terre. Elle repoussa une de ses mèches argentées qui tombaient en bataille sur tout son visage et me sourit. Il semblait que son geste de la main pour essayer de dégager sa vue de ses cheveux n’eut servi à rien car la touffe rebelle revint devant les yeux de la jeune fille qui rigola en essayant d’écraser les antennes chevelues qui se pointaient sur son crâne. Ce fut elle qui ouvrit la bouche la première, de sa voix aiguë et profonde à la foix.
- Je suis Kam ! Et toi, qui es-tu ?
Je souris, moi aussi. Elle avait une bonne humeur contagieuse, sans aucun doute. Je lui répondis d’une voix un peu timide et mal assurée, craignant de paraître idiote après l’accident dont elle venait de me tirer de justesse.
-Je suis…Moria. Merci de m’avoir aidée, tout à l’heure…enfin, même si j’aurais pu m’en sortir toute seule, lui lâchai-je d’une voix déjà moins tremblante que ce que je m’attendais à entendre de ma propre bouche. Il était d’ailleurs vrai que j’aurais pu me sauver de ma situation dangereuse, en un clin d’œil, mais ma frousse l’avait emporté sur ma raison. J’en avais honte. J’aurais dû avoir le réflexe de me transformer, mais mon esprit n’avait pas été assez lucide. Quelle bêtise pour une Acytsimîte ! Je me maudis encore une fois puis essayai de chasser ces pensées de ma tête. A ma grande surprise, Kam éclata de rire.
-Tu es sûre ? Bon… De toute manière, t’es saine et sauve, c’est tout ce qui compte, me lança-t-elle, si optimiste. Elle avait cette façon de parler comme un garçon. Cela ne m’étonna pas tellement. Son aspect, autre que son visage si délicat, n’avait rien de féminin. Un simple t-shirt bleu accompagné d’un jean rapiécé sans doute par des chutes et des coups de bagarres faussement viriles, comme les soi-disant hommes de son âge, l’habillaient des pieds à la tête. J’oubliais ses mitaines noires qui découvraient le bout de ses doigts fins aux ongles courts.

Génial cette suite !

Moi j'ai déjà lu les 36 pages d'abord. x)

bin toujours aussi bien sa change pas^^

Toi tais-toi d'abord hein ! T'auars les 36 pages d'après en même temps que nous en plus nananananère

non parce qu'elle me les passe à l'école x3 /SBAFF/

Remarque, Rafale, je crois que tu as juste lu jusqu'à la page 32 xD
Je vous mets la suite quand? ^^ Là, vous êtes à la fin de la page 4 ^^
Un de ces 4, je mettrai les dessins des persos =)
Saviez-vous d'où vient en réalité Moria? xD *Rafale, ne leur dis pas*

Oh Pentacle!Tu est si beau, si intelligent, si fort, si Sexchi x3 bon écrivain!

Bah pour être honnète, j'ai encore rien lu, mais je vais m'y mettre de suite xD

xD
Si je vais leur dire !!! =)
Moria c'est... devinez. x)

Moria veut dire Deviner? x3

*sors vite* xDD

Exactement. xD
Non c'est pas ça. x)

J'ai tout lu ce que tu as mis ! C'est génial, je trouve !

Moria, ça vient pas d'un film qui s'appelle le seigneur des anneaux ? Ya un endroit qui s'appelle les mines de la moria ! =)

Non c'est pas ça. >.<
J'avoue, elle m'a pris comme modèle pour Moria. x)

non, c'est vrai? t'es si horrible c'est toi?

Le caractère c'est pas vraiment moi mais le dessin plus ou moins. xD

Moria elle est timide => Rafale parfois aussi è_é Et je la trouve jolie Moria, moi >.< Aeros aussi la trouve super jolie, mais vous ne le connaissez pas encore ^^

Et j'y avais même pas pensé aux mines de la moria =O En effet, voilà une énorme coïncidence car cela fait des années que je n'avais plus entendu parler du Seigneur des Anneaux xO Bien trouvé, Nuage de Panthère, bien trouvé... ^^

En tout cas merci pour tous ces compliments =D (oui, merci Cendre, je sais, je suis sexy xD)

bon c'est pas tout mais la suite ?
je sais je suis quelque fois c*****e

Kam leva son poing, pouce en l’air, son sourire ineffaçable affiché sur son visage.
-T’inquiète pas, tu me donnes envie de te protéger, alors c’est ce que je ferai, quoi qu’il arrive !
Là, je ne pus me retenir de rire, ce qui la vexa, je crois. Je n’avais pas pu m’empêcher car, dans le livre que j’avais lu la veille, l’héroïne maladroite se faisait sauver par son admirateur secret, qui lui faisait alors une déclaration pareille aux paroles que Kam venait de me lancer. Elle, elle ne pouvait pas le comprendre, évidemment, ce qui lui donna l’impression que je me moquai d’elle, à tort, bien sûr. Son visage se para d’une mine bougonne et elle croisa les bras d’un air de mécontentement, attendant une quelconque explication. Je me rendis compte de l’effet que j’avais produit, contraire à celui que j’avais désiré, et arrêtai immédiatement mes gloussements que je trouvai tout à coup ridicules à un point inimaginable. Je cherchai les mots pour m’expliquer, m’excuser, lui faire comprendre que je lui étais reconnaissante, mais rien d’intelligent ne me vint. Je maudis cet imbécile de cerveau qui n’était jamais utile quand il le fallait et m’efforçai de trouver quelque chose de convaincant.
-Ne crois pas que je me moque de toi, ce n’est pas du tout ça ! Je te remercie énormément pour ce que tu m’as dit et …après ces quelques paroles tellement vraies, j’eus l’envie de continuer dans cet élan d’aveux et continuait en m’écriant "Je veux bien que tu me protèges, si tu veux, bien sûr". Il n’y avait aucune hésitation dans ma voix qui était beaucoup plus tranchante que ce que je n’aurais voulu. C’était une habitude pour moi de parler ainsi et j’en fus un instant contrariée, pensant que Kam allait peut-être le prendre mal, croyant que je ne désirais pas le moins du monde sa compagnie. C’était mal la connaître. Celle-ci me sourit encore une fois et me passa le bras autour des épaules assez brutalement. Son visage se rapprocha du mien et je fus contrainte à être heureuse, malgré moi. Décidément, sa bonne humeur était réellement contagieuse.

whaa! quelle suite.!.!.!.!.!.!.!.!.!.!.!.!.!.!.!.!

Merci petite Fleur d'Encre =3 Je mettrai ptet la suite plus tard

le plus tard est arrivé Oo grand Pentacle Sanguinaire