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 The time of the crime

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The time of the crime Empty
MessageSujet: The time of the crime   The time of the crime EmptyLun 13 Aoû - 9:57

Bonjour à tous 8D Il se trouve que, par hasard, j'ai retrouvé un livre que j'avais commencé il y a un bon bout de temps dans mes dossiers. Il se nomme The time of the crime, ce qui veut dire "L'heure du crime". Donc, je poste le début du livre que j'avais oublié, car je vais donc le continuer Je vous laisse le lire. Je vous poste le résumé, le prologue et le premier chapitre. Je continuerais à poster si vous aimez ♥ Attention, tout plagiat partiel ou total est prohibé ! Ici, on touche avec les yeux et rien d'autre 8)



Les personnages ♪

Personnage principal : Sélène ~ Adolescente de 17 ans aux cheveux longs, ébène et aux yeux bleus.

Personnage secondaire : Pierre ~ Adolescent de 16 et demi aux cheveux courts, bruns et aux yeux verts.

Autres personnages :
Chloé ~ Adolescente de 17 ans aux cheveux mi-longs, blonds et aux yeux bleus océan.
Nathalie ~ Fille de 16 ans aux cheveux court, noir et aux yeux or.
Anna ~ Mère de Sélène. Adulte de 46 ans aux cheveux bruns clair et aux yeux bleus clairs.
Ilona ~ Fillette de 7 ans aux cheveux chatins. Elle aura de la chance si elle s'en sort dès le début de la prologue.
Lucas ~ Jeune adulte de 21 ans aux cheveux roux cuivré et aux yeux marrons. Aidera Sélène et Pierre dans leur enquête sur les loups-garous.
Mr.Pillier ~ Professeur d'anglais du lycée de Sélène.
Mr. Harmenis ~ Homme s'occupant de centre d'information informatique [CDI]


Les dangers :
Les loups ~ Meute de loups sanguinaire qui terrorise le village où habite Sélène.


Résumé ♪

Je suis l’ultime combattante. Sans moi, le secret ne serait rien. Avec moi, les combats sont terminés, les complots dévoilés. Je suis la seule à pouvoir tout arrêter.




Prologue ♪

Pourquoi pleurer alors que c'est au-dessus de vos forces ? Pourquoi hurler alors que plus personne ne vous entend ? Les larmes coulent, tombent. Ses crocs se rapprochèrent d'elle, ses griffes frôlèrent à maintes reprises son cou. Un sanglot s'échappa de sa gorge. La fine brise agita ses cheveux bruns, déjà teintés d'une couleur pourpre. Deux grosses canines se posèrent sur sa gorge. Elle se débattit et ne récolta qu'un violent coup de patte au visage. Le sang gicla, arrosant le sable du Terrain de gouttelettes sombres. Un cri strident monta de sa poitrine. Un cri à vous déchirer le cœur. Lorsqu'elle sentit une pression soudaine sur sa trachée, elle comprit. Ses hurlements redoublèrent mais en vain ? Personne ne pouvait l'entendre. Ses poumons se mirent à la brûler. Elle suffoquait. Le sang dégoulina de son cou pour venir se poser sur le pelage de la bête. Ses tremblements se transformèrent peu à peu en légères convulsions, puis plus rien. Il laissa tomber le cadavre dans le sable. L'église sonna les douze coups de minuit. La lune apparut, à son zénith. Ses lumières d'argent se déversèrent sur la place. Le corps sans vie fut éclairé par les reflets de la lune. Le sang teintait ses habits. Un coté de son visage était étripé. Sa gorge ouverte laissait apercevoir sa trachée à demi arrachée. Le responsable du meurtre ouvrir la gueule pour laisser échapper un long hurlement, puis, se détourna. Le silence retomba. Elle était là, morte. Personne ne pouvait plus rien faire.
Seule la mort peut arrêter le temps...




Chapitre premier


Je dévalai les escaliers et déboulai dans la cuisine. J’attrapai vivement une pomme dans le bac à fruit, la mis dans mon sac en prenant soin de l’envelopper dans un sac plastique et me rua vers la porte d’entrée. Les lampadaires étaient encore allumés et jetaient des ombres difformes sur le trottoir. J’entendis le grondement du bus qui arrivait derrière moi. J’accélérai la cadence et arriva pile au moment ou mon bus s’arrêtait à l’arrêt. Essoufflée, je montai les marches, salua vaguement le chauffeur et m’écroulai sur un siège. Mes cheveux blonds me retombaient sur le visage, se collant à mon front humide. Le bus redémarra en vrombissant et un vacarme m‘emplis les oreilles. Je m’appuyai sur la fenêtre et contempla le paysage encore plongé dans l’obscurité. J’ouvris mon sac et en sortit un grand livre sur les loups-garous. Je me plongea dans ma lecture, le dos callé sur l’arrière de son siège.
« Alors Selene, encore plongée dans ton bouquin sur les loups-garous ? Mais t’es accro ma parole ! »
Je fis comme si je n’avais rien entendu. Nathalie était une peste qui adorait énerver tous le monde, ce n’était pas nouveau. Je fermai mon livre d’un claquement sec et commença à me lever car le bus était arrivé devant le lycée. Je descendis du véhicule et sauta sur le goudron. Un garçon brun aux yeux verts arriva vers moi, rayonnant. Je lui rendis un sourire forcé.
« Salut Pierre…
- Bonjour Selene, ça va ? »
Je ne répondis que par un haussement d’épaule.
« J’ai cherché des trucs sur les loups-garous jusqu’à 2h du mat’ »
Je le regardai, soudainement intéressée.
« Quels genre de trucs ?
- Je savais que tu réagirais si je te parlais de ça
, ricana Pierre. 
- Ah…Très drôle, soupirais-je. »
Pierre me donna un coup d’épaule si violent qu’il faillit me renverser et sortis une copie double de son classeur de science et vie de la terre. Là était soigneusement écrit tout un texte sur les loups-garous.
« Là regarde. Il est écrit que si on lance une bille de peinture avec au centre un peu d’argent fondu, le loup-garou se métamorphose une seconde mais c’est assez que nous puissions voir si s’en ai un et le tuer.
- Ouah bien joué ! »
Nous ne pûmes discuter d’avantage car la cloche annonçant le début des cours se mit à sonner. Je m’empara de la feuille de Pierre et me rua vers ma classe.
« Hé !
- Tu permets ? Lançais-je, moqueuse. »
- Mais je t’en prie. »
Je lui fis un bref signe de la main avant de rentrer dans les couloirs bondés d’élèves. Je commençais ma journée avec un cours d’Anglais… Super ! Je redressa mon cartable et serra la feuille entre mes doigts. Quelqu’un me tapota l’épaule. Je me retourna et vis que ce n’était que Chloé, une bonne amie.
« Salut Selene !
- Hey ! Comment ça va Chloé ? »

Je n’obtenus pas de réponse. Chloé fus fixée sur quelque chose. Suivant son regard, je m’aperçus qu’elle contemplait la feuille. Avec un grognement, je la plia en quatre.
« C’est quoi ? Me demanda-t-elle, intriguée.
- Cela ne te regarde pas.
- T’es pas sympa Selene. »

Je leva les yeux au ciel. Dans dix minutes, elle aurait oublié, comme toujours. Je déplia le bout de papier et commença à le lire.
« Si vous lancez une balle de peinture enduite d’argent et que vous atteignez n’importe quel point du loup garou, la bête se transforme quelques secondes, mais c’est assez pour vous permettre de savoir si l’homme est un lycan. Une fois le loup-garou, vous n’avez plus beaucoup de temps pour le tuer, ou alors il s’enfuira hors de votre portée. Mais si… »
Je sentis que l’on m’arrachais la feuille. Je leva la tête. Oh oh…
Mr. Pilier se tenait devant moi, visiblement… Très en colère.
«  Eh bien Mademoiselle Dubas ? Qu’Est-ce que c’est ?
- Heu… Une feuille. »

« Sans blague ? Merci, il sait que c’est une feuille… » Je le regardai avec le regard du chat botté. Il me regarda derrière ses lunettes d’un air septique, mais me rendis la feuille. Je lui arracha presque des mains et rentrai dans la classe, les yeux rivés sur le sol. J’allais m’assoir à ma place habituelle mais Mr. Pilier vint se planter à coté de moi, les yeux mauvais.
« Non Selene, vous vous mettrez tout devant. »
Je faillis pousser une protestation devant toute la classe. Mais je ne le fis pas. Je grommelai mais obéis. Je laissa mon cartable glisser de mon épaule qui tomba bruyamment sur le sol. Plusieurs regards éberlués se fixèrent sur moi mais je les ignorai. Le cours passa si lentement que je manqua de m’endormir sur ma table. Mon voisin me donna un coup de coude lorsque le prof’ me lança un regard réprobateur. Je le regarda… Enfin, je le regarde sans le voir quoi. La sonnerie me fit bondir de ma chaise et je m’empressai de rassembler mes affaires pour quitter cette salle. Je me creusa la cervelle pour savoir quel cours j’avais. « Ah oui, j’ai ce naze de cours de sport. » En soupirant, je descendis les escaliers, manquant de tomber lorsque je loupai une marche. Je me rattrapa de justesse à la rampe en poussant un petit cri strident. Remise de ma frayeur, j'attrapai mes clefs dans la poche de mon pantalon, m'accroupis devant mon casier, tournai la clef et ouvris la porte. J'attrapai vivement mon sac de sport, jetai mon sac de cours dans le petit espace et refermai la porte. Quelque chose bloquait. Je rouvris mon casier et découvris un mot, plié en quatre dans l'espace permettant à la petite porte de se fermer. Je l'attrapai et le dépliai.
« Rejoins moi à la cafeteria ce midi. Il faut que je te parle à propos de quelque chose. Bonne chance pour ton cours de sport. Bis’, Pierre. »
Je clignai des yeux, rangeai le papier dans ma poche, refermai mon casier, attrapai mon sac de sport et courus me ranger avec ma classe. J’aperçus Nathalie qui m’observait froidement. Je lui rendis un regard tout aussi glacial et allai me ranger près de Chloé. J’avais de la chance, elle et moi avions tous les cours en commun, sauf la SVT et le français. Cette dernière m’interrogea du regard.
« Qu’Est-ce qu’elle te veut encore celle là ? »
J’haussai les épaules.
« Ben… Je sais pas. Des emmerdes, comme d’habitude. »
Ma camarade s’esclaffa et moi aussi. Nathalie se retourna et nous observa comme si nous étions deux folles sorties de l’Asile psychiatrique. « C’est elle la malade mentale… »songeais-je, furieuse.
Je sentis soudainement une main sur la poche de mon jean. Chloé la tâtait.
« C’est quoi ?
- Un mot. »

Pourquoi fallait-elle qu’elle remarque toujours tout ce qu’il ne fallait pas ?
« Un mot ?
- De Pierre.
- Ouah ! Il se passe quelque chose ? »

Je la regardai, éberluée.
« Hein ?
- Ben, toi et lui, vous êtes en contact sans arrêt. Alors je te demande juste. Y a pas de honte, arrête de rougir. »

« Hein, quoi ? Je rougis ? » Je palpa mes joues. Brûlantes. Je piquai de nouveau un fard et détournai la tête. Vivement que cette foutu journée se termine…
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