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| Sujet: Paradis Perdu. Mer 16 Fév - 14:40 | |
| * Mon personnage * Nom du minou : Paradis Perdu. * Son âge (Merci d'aller dans le profil pour le définir en date de naissance) : 15 lunes. * Sexe : Femelle bien sûr. =p * Compétences de mon chat (400 points à répartir) :
Force : /50 Vitesse : /200 Agilité : /150
* Son groupe : Clan de l'ombre. ♥ * Son rang (s'il fait partie d'un des 4 Clans) : Guerrière.
* Son histoire :
• FIRST - Et dire que j’ai faillit être normale.Petite Utopie. Un jeune chaton, plutôt semblable à ses congénères : joueuse, affectueuse, insouciante. Mouarf’ elle aurait pu rester une gentille femelle naïve et tout mignonne comme les autres. Elle aurait pu oui. Mais nan. Il a fallut que ce jour arrive. Oh pourtant cette journée avait débuté comme les autres, un soleil chaud, quelques nuages, des amis, et de la bonne humeur. Je sens que ce matin va être une pure soiréée ♫ * magggle *. Bref, revenons à nos moutons, pour Petite Utopie, même si cette journée était ordinaire, il y avait un truc de nouveau : aujourd’hui était le jour ou elle sortirait de son camp pour la première fois. Yepee.Avec sa joie naturelle de chaton, Petit Utopie bondissait partout - surtout sur le ventre de sa mère avouons le - tant l’excitation était grande. Ombre Démentielle, sa mère, se contentait de soupirer en levant les yeux au ciel.- Arrête de sautiller partout veux tu, on dirait une sauterelle, maugréa-t-elle.- C’est bon, pardonne moi d’être joyeuse…Malgré les joutes verbales qui se passaient entre Ombre Démentielle et la jeune chatonne, elles s’adoraient toutes les deux. Seulement elles ne se le disaient jamais, seul leurs regards le trahissait.La jeune maman sortit de la pouponnière, sa petite courant en rond autours d’elle. Elle poussa un nouveau soupir résigné, et prit le chemin de sortie du camp suivit du chaton gris.C’est magique !Toutes ces nouvelles odeurs, ces plantes aux milles couleurs, la rivière qui coulait avec tant de résonance qu’elle crut devenir sourde. Son cerveau enregistrait mille choses à la fois, et elle crut mourir de bonheur. Bondissant à chaque nouveau toucher, reniflant toutes les fleurs qui lui étaient jusqu’à présent inconnues, Petite Utopie s’amusait comme jamais. Plongée dans son émerveillement, elle ne remarqua pas l’arrêt de sa mère, et son air inquiet. Elle se contentait de sautiller partout comme une imbécile heureuse. Dans un geste protecteur Ombre Démentielle attrapa son petit par la peau du coup et se mit à courir le plus rapidement possible. La cause ? Oh rien de grave juste un blaireau. Un blaireau qui pouvait la tuer elle et son chaton en un seul coup de patte.Malgré tout ses efforts pour galoper rapidement, sa petite l’alourdissait, et apparemment, l’animal qui même avec un poids chiche à la place du cerveau les avaient repérés. Avouons le : parfois les femelles peuvent faire des choix stupides à cause de leur instinct maternel sur-dimensionné. Pas d’bol, Ombre Démentielle fait partie de celle-là. Elle posa doucement son rejeton par terre, lui donna un bref coup de langue sur l’oreille et planta ses yeux sombres dans ceux gris de sa petite.- Écoute moi mon poussin, miaula-t-elle, écoute moi comme tu ne m’a jamais écouté. Je veux que tu rentres au camp immédiatement, tu arriveras à te retrouver ?- Oui, mais tu me rejoindras après, hein ?La jeune mère ne réussit pas à lui répondre, elle se contenta de lui donner une dernière léchouille, remplie de tendresse, et lui donna un coup de patte. Petite Utopie était trop jeune pour comprendre que sa mère était en train de se sacrifier pour elle, pour lui permettre d’avoir une chance de rentrer saine et sauve dans son clan. Elle fit donc un tour sur elle-même, et fonça à travers les fougères. Ombre Démentielle jeta un ultime regard, l’amour faisant briller ses yeux noirs. Un dernier au revoir, un dernier regard.Un bruit de course retentit juste derrière elle, puis un énorme blaireau surgit des buissons. La guerrière était redoutée des autres chats, mais seule face à un énorme animal comme celui la, elle n’avait aucune chances. Strictement aucune. SECOND - Viva la vida.L’amour.Sensation aux saveurs fruitées, qui te rend aveugle. Ha bin bravo.Belle Utopie était aux anges. Souffle d'Onyx et elle vivaient une idylle merveilleuse, formant dans son cœur une paisible joie qui augmentait de jours en jours. Ils s’aimaient tout deux d’un amour infroissable et réciproque, seulement voilà : la douceur et la beauté de notre gentille Utopie en attirait plus d’un, dont Pelage de Sang. Pour Utopie, il n’étais rien de plus que son confident, pour lui, elle était l’amour de sa vie. Sa jalousie envers le couple avait transformé son amour en haine, une haine au gout de l’amertume.Les trois jeunes guerriers étaient partis à la chasse ensemble. L’ouïe de Belle Utopie ayant toujours été très développée, et avait détecté un lapin non loin de la. Elle laisse son compagnon avec Pelage de Sang, et partit attraper le rongeur.Tous les sens en alerte, ses pattes ne frôlant presque plus le sol, elle s’accroupit, se préparant à bondir. Elle avait détecté un mouvement derrière les broussailles à sa gauche. Plus qu’une secondes, et ce serait la fin pour ce petit animal. Elle se ramassa, prête à bondir, ses pattes fines n’attendaient que le bon moment pour déchainer leur force et s’abattre sur le coup de sa proie. Tout aurait du bien se passer, mais non. Un cri terrible déchira le silence de la foret, faisant fuir le lapin.La femelle sentit son cœur s’arrêter en reconnaissant la voix de Souffle d'Onyx. Elle poussa un grognement, et bondit vers la source du bruit. L’odeur de la peur était mélangée à une autre… Celle du sang ! L’estomac de la guerrière se noua, et elle fila à travers les broussailles, ses yeux cherchant son compagnon autours d'elle. Elle déboucha un nid de bambou, et vit Souffle d'Onyx, gisant à terre, du sang s'échappant de son poitrail. Un gémissement monta dans la poitrine de Belle Utopie, et elle se précipita aux côtés de son compagnon. Une lueur douce brillait dans ses yeux lorsqu’il reconnut son amante.- Pelage de Sang... Fais attention.. Je t'aime...Il ferma ses deux yeux émeraude si beaux, et poussa un dernier soupir. Une larme, solitaire, coula le long de sa joue, se mélangeant à celles, innombrables, de Belle Utopie.Craaac.La femelle sentit son cœur se briser, et s’écroula auprès de son amour, jurant, pleurant, gémissant, hurlant sa haine envers la terre entière.Elle était brisée. Morte. Elle voulait mourir, le rejoindre. Impossible. Elle devait rendre hommage à sa mère, et venger la mort de Souffle. Un cri de rage monta le long de sa gorge, et elle leva les yeux vers le ciel, dont l’aube le teintait d’une lueur rouge.- Pourquoi m’infligez vous ce mal ?! Vous n’êtes que des lâches, et vous créez des destins pire que la mort pour vous divertir ? Je changerais mon destin, et je tuerais pour ensuite vous toucher, vous, et faire que votre mort ne soit pas aussi douce que vous ne le pensiez. Vous ne méritez pas que je crois en vous, et je ne suis plus un de ces idiots sans cervelles aux croyances futiles, qui n’auront jamais de retour ! Belle Utopie est morte. Aujourd’hui je renais, et je porterais la mort avec moi, aujourd’hui, je hurle devant vous tous que je n’aurais de cesse d’exercer ma vengeance tant que vous vivrez tranquillement dans votre Astre ! Aujourd’hui, nait Paradis Perdu !Elle reporta son regard vers son amour, son pelage blanc était baigné de sang. Elle se leva doucement, après une dernière caresse, et plongea dans la foret, d’une démarche fantomatique. Elle avait raison, Belle Utopie était réellement morte. La chatte qui était la à présent n’était plus que haine, mort, et douleur. Paradis Perdu.Ses yeux gris était autrefois brillants de joie et de malice, et à présent, sont à la fois froids comme de la glace, et brulants de haine. Ses mouvements aussi, avant, elle jouait sur la force, maintenant, sur la souplesse, et la rapidité. Elle était… Effrayante. THIRD - Alors, heureuse ?Paradis Perdu était rentrée au camp, la mort dans l’âme. Elle n’était plus que l’ombre d'elle-même, et la haine mélangée à la peine obscurcissaient ses pensées, la mort étant le principal but de sa nouvelle vie. Elle traversait doucement son clan, sa maison, observant pour la dernière fois ce lieux qui lui étaient si familier, les odeurs qui lui étaient si chères. Après ce qu’elle allait faire, sûrement serait-elle banni de chez elle. Elle poussa un profond soupir, et s’avança vers la tanière des guerriers, dans laquelle se trouvaient Plume de Phoenix, Tornade Hurlante, et celui qu’elle cherchait, Pelage de Sang..Ce dernier était couché dans la tanière, et lorsqu’il aperçut Paradis Perdu, il se mit à trembler, et les deux autres guerriers la fixaient avec un œil inquiet. Plume de Phœnix, qui était l’ami du mâle noir, se racla discrètement la gorge.- Belle Utopie, tu es sûre que…- Sortez. Sauf Pelage de Sang.La voix du matou était méconnaissable. Froide, et calme, et elle résonnait comme un requiem. Laissant seuls les deux chats, Plume de Phoenix et Tornade Hurlante sortirent de la tanière un peu étonnés.- Tu… Tu vas me tuer ?- Oui.- Tu peux pas faire ça… Tu vas…Pas le temps de finir sa phrase. Un filet de sang sortait déjà de sa bouche, la gorge tranchée. Lorsqu’il s’effondra au sol, il était déjà mort.- Game over, murmura Paradis, plutôt satisfaite d'elle.L’odeur de sa peur emplissait l’air, et Paradis Perdu sortit de la tanière, puis partit du camp. Sans doutes découvriraient ils rapidement la mort du matou rayé. Mieux valait se dépêcher et mettre son plan a exécution. Sans aucunes hésitation, elle quitta les terres du clan de la Rivière, s’assit à la frontière, et se mit à lisser son pelage pour effacer un peu l’odeur de son clan d’origine. Une fois son travail à peu près satisfaisant, la chatte se mit à galoper vers le chemin pour rallier le territoire du clan de l’ombre. Une fois dans le terrain marécageux, elle se roula dans la boue nauséabonde, et reprit sa course, tout droit vers le camp. Par chance, aucunes patrouille ne la surprit, et un sourire se dessinait sur ses lèvres. Décidément, ça serait plus facile qu’elle ne le pensait.Devenant ombre parmi les ombres, elle entra doucement dans le clan, et s’approcha furtivement de l’antre du chef. Par chance, celle-ci s’y trouvait seule.- Etoile d'Hivers, l’appela t-elle.Le chef se tourna vers elle, étonnée et cracha.- Que fais tu ici ? Tu sens le clan de la Rivière à plein nez. Tu pensais nous troubler avec ta futile ruse ?- Eh bien, je vois que vous êtes plus intelligents que je le pensais. En effet je viens bien du clan de la Rivière, je suis une déserteuse, et je cherche asile dans votre clan. Libre à toi de m’accepter parmi les tiens.La chatte parut réfléchir, mais ne baissa pas sa garde.- Promets tu plus de fidélité au clan de l’ombre qu’a ton ancien clan ?- Seul l’avenir nous le dira.- J’accepte pour l’instant, mais à la moindre trahison, je m’arrangerais pour que ta vie soit réduite à un tas de poussière.Un sourire froid étira les lèvres de la guerrière, et elle tourna le dos au chef qui l’accompagna.Dans un cri, elle rassembla les chats de son clan, qui affluèrent les yeux inquiets. Ils avaient sans doutes sentit son odeur. Des murmures se firent dans la foule lorsqu’ils aperçurent Paradis. La meneuse fit le tour de la foule du regard.- Chats du clan de l’ombre, j’ai une nouvelle à vous annoncer. Bonne ou mauvaise, seule le temps nous le dira. La chatte assise à mes côtés est à présent une des nôtres. Vous la considérerez comme si ça avait toujours été le cas, et vous la respecterez. Bienvenue parmi nous… Étoile d'Hivers lança un regard inquisiteur à la chatte grise.- Paradis Perdu, termina la guerrière. • * Son caractère : (Minimum 5 lignes)
Utopie de l'Ange n'est pas une chatte très facile à vivre. Très associable, elle ne fait jamais le premier pas pour parler aux autres, et quand les autres le font, elle se contente soit de les ignorer, soit les jours ou elle est de mauvaise humeur, de les - pardonnez mon expression - envoyer *VIVE LGDC*. Très rebelle, elle déteste qu'on lui donne des ordres et quand on la dérange, elle le fait comprendre. En général, lorsqu'elle est - vraiment - de très bonne humeur, elle se contente de faire des blagues ironiques à ses confrères, qui en général ne plaisent pas. Aussi, elle a vraiment horreur qu'on lui manque de respect et utilise souvent la force pour régler ses conflits personnels. Quand un mâle lui plait, elle peut ses montrer très enjôleuse et séductrice. Elle a l'droit de s'amuser des fois, non ?
Dernière édition par Paradis Perdu le Jeu 17 Fév - 8:37, édité 4 fois |
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