* Nom du minou : Flamme Téméraire * Son âge (Merci d'aller dans le profil pour le définir en date de naissance) :13 lunes * Sexe :mâle * Compétences de mon chat (400 points à répartir) :
Force : 100/200 Vitesse : 150/200 Agilité : 150/200
* Son groupe : Au choix: Vent * Son rang (s'il fait partie d'un des 4 Clans) :Guerrier
* Son histoire : (Minimum 10 lignes)
Diablo, est un chaton de quelques lunes. Fier et droit, ce jeune matou aime beaucoup sa famille, ses sœurs et ses frères, en particulier sa sœur cadette, Pattoune. Les deux chats sont très, très proche. Toujours ensemble, à faire des bêtises, même le jeune chaton est très protecteur envers, peut être parce qu’elle est la seule sœur qu’il peut dire que c’est lui le grand frère, vu que les autres sont plus grands que lui. Diablo est un chaton écaille tortue foncé, aux yeux couleur topaze et vert. Les jours après sa naissance se passèrent sans trop de problème, il ne s’entendait pas trop avec les aînés, mais très vite des bipèdes vinrent les chercher.
Le jeune mâle, lui , restait avec sa petite sœur, les deux derniers de la portée qui ne partirent pas, c’était eux. Diablo s’interrogeait vraiment, il voulait savoir pourquoi il ne partait pas, lui ! Même si il n’avait pas très envie de partir, il aimait bien trop sa petite sœur et sa mère. En parlant de sa mère, Cassis, il alla la voir en soir, pendant que Pattoune dormait déjà, roulée en boule, la jolie chatonne était vraiment très belle, pensa le grand frère. Il se dirigea tout doucement, sur le sol en carlage de la cuisine, vers sa mère qui était dans le salon.
Ses petites pattes ne faisaient presque aucun bruit, sur le sol blanc du salon. Le jeune matou était toujours très impressionné, par le blanc qui recouvrait la maison, et qu’il n’avait pas le droit d’abîmer. Sa mère, lui avait dit que c’était parce que s’était très cher, pour les bipèdes. Diablo lui avait rétorquer qu’il s’en fichait de ses bipèdes. Cassis l’avait grondé très fortement, pour cet outrage. Le jeune chat se souvenait encore de la tête de sa mère, il n’avait pas aimé qu’elle s’énerve contre lui, vu qu’il n’avait rien de mal. Après tout.
Le chaton repéra sa mère, au loin, grâce à son fumet de maman, il aimait son odeur, quand le beau chaton était près d’elle, ses soucis s’envolaient tout de suite. Là, ses aînés le traitaient de petit bébé à sa maman. Le jeune mâle n’aimait pas ça, du tout ! Heureusement que Pattoune était là, pour lui dire que les autres sont bêtes. Au qu’il l’aimait beaucoup sa petite sœur, toujours là pour lui, et lui toujours là pour elle. Le couple parfait, comme des jumeaux, ils pensaient aux mêmes choses, disaient leur phrase en même temps, ce qui énervait leur mère, qui les faisait taire. Bien sûr les deux jeunes trouvaient ça drôle.
Bref. Diablo trotta, un poils plus vite vers sa mère, et miaula doucement une salutation. Sa mère ronronna, et il se frotta contre le flanc de sa mère, en faisant de même. Sa mère le regarda avec ses beaux yeux vert, et elle lui demanda :
- Mon fils, que fais-tu là ? Tu devrais dormir.
- je sais mère, mais j’ai une question. Ca me torture l’esprit depuis, que mes frères et sœurs sont partis.
- Vas-y, je t’écoute.
- Pourquoi moi et Pattoune, on est pas partis et ou sont les autres ?
Sa mère soupira de lassitude, et elle s’assit, à son tour, elle prit la parole et dit :
- Écoute, tes frères et sœurs sont partis vivre avec d’autres bipèdes, et un jour ce sera le tour de ta sœur…
- Et, le miens ? Je partirai quand ? !
- Tu ne partiras pas, mon chéri.
Sur ce, sa mère partie en trottinant vers son panier bien moelleux. Diablo ne comprenait pas pourquoi, tous le monde part en jour, sauf lui. Quel était ce sort bien moins qu’harmonieux, pour son esprit encore corrompu par les jeux de chatons. Il retourna en trottant près du panier de sa sœur, il s’y coucha et ferma les yeux. Dans sa tête il se demandait ce qu’il allait pouvoir faire plus tard, si toute sa famille partirait sauf lui. Quelle misère.
Les jours d’après, ni sa sœur ni lui ne partirent, mais plusieurs jours des humains virent les voir, enfin tout particulièrement sa jeune sœur « Patoune », au grand désespoir du jeune matou tricolore. Diablo savait à présent, qu’il ne quitterait jamais cette maison tout de marbre vêtue, mais au moins il voulait profiter des derniers moments avec sa sœur, bien sûr il lui avait raconté ce que sa mère lui avait expliqué, mais bon, les deux jeunes chatons ne savaient pas quoi faire pour échapper à leur destin si mêlé, surtout en ce moment.
Diablo surveillait farouchement sa petite sœur, il restait toujours dans les parages, la suivant comme son ombre, même si ça énervait Patoune, mais tant pis, le jeune chat n’allait pas laisser partir sa sœur comme ça, et surtout, il ne voulait pas être écarté de sa vie ! En effet, le chaton était plus que jaloux de voir que sa sœur partirait de ce taudis, mais en même temps, sa sœur était tout pour lui, et il ne voulait pas la laisser s’en aller, surtout que sa sœur n’était pas consentent à s’en aller loi de lui.
Pensant que leur mère comprendrait, les deux chatons étaient allés lui parler, mais leur mère n’avait rien voulu en savoir, et avait dit : « De toute façon, je ne peux strictement rien faire, mes enfants… » Patoune était restée sur place, pétrifiée, tandis que son fougueux frère était parti le plus loin de sa mère indigne. Sa jeune sœur n’avait pas tardée à lui emboîter le pas, pour le réconforter. Diablo ne comprenait toujours pas pourquoi, les autres partaient et lui restaient, une chose était sûr, il ne resterait pas dans cette maison si sa sœur partait, et bien sûr il se battrait pour ne pas la laisser partir. Cette nuit-là, le jeune chaton dormit très mal, d’ailleurs il ne savait pas vraiment pourquoi.
Il ne le comprit que le lendemain matin malheureusement, quand très tôt le matin, la sonnette d’entrée fit « Dring, Dring, Dring ». Les deux chatons étaient pressés l’un contre l’autre, en attendant le pire. Leur mère vint à leur rencontre et les poussa du museau, et se mit à lécher Patoune. Diablo, lui restait en retrait et foudroyait du regard sa mère. Captant le regard de son fils, elle dit :
- Quand tu seras plus grand, tu comprendras ! - Ca, j’en doute, Lâcha le jeune chaton. Pourtant un "ou pas", cinglait dans sa tête !
Sa mère s’éloigna, en passant sa queue sur la tête de son fils. Diablo secoua la tête, et feula un peu, puis se rendit dans sa couche, près de sa sœur, il se serra contre elle. Au matin, ce fut la catastrophe, sa mère les secoua fermement. Les deux chatons ouvrirent leurs yeux, en ayant du mal à les maintenir ouvert. Patoune demande :
- ‘skispasse maman ? - Ils sont là, ma chérie, c’est ton tour. Sur ce, elle s’éloigna vers leurs maîtres.
Diablo fixa sa sœur, avec un regard super triste, tout dans son regard disait « je ne veux pas que tu partes, reste. » Patounne s’approcha de lui et se serra contre la fourrure tricolore de son frère. Diablo passa sa queue contre son flanc, et ronronna distraitement, il avait peur de se retrouver seul, mais il ne pouvait rien faire, sa sœur devait partir, et pourtant la vie nous laisse toujours le choix, soit de se relever, soit de rester à genou ! Diablo aurait tant voulu se relever et montrer à ses bipèdes, qui est le vrai patron, mais simplement, il n’en avait pas le courage !
Les deux chatons s’avancèrent vers les humains. Presque immédiatement, une petite bipède attrapa sa sœur dans ses bras, sa pauvre patoune se débattit de toutes forces, mais elle restait coincer dans les pattes de la bipède. Diablo feula de colère et voulu aider sa sœur, mais sa mère l’en empêcha en se mettant devant lui, le jeune chaton foudroya sa mère des pupilles. Comment pouvait-elle regarder ça, sans rien faire ? !
Le jeune chat ne comprenait vraiment pas, il aurait tant voulu montrer à sa sœur qu’il voulait qu’elle reste toujours au près de lui, mais comment ? C’était impossible pour un si jeune chaton. Maudissant cette loi, celle de plus fort, il regarda sa sœur, s’en aller, pour toujours ! Est-ce qu’un jour, il l’a reverrait ? Seul le destin capricieux, le lui dirait, il l’espérait en tout cas.
Les bipèdes partirent avec Patoune qui miaulait de désespoir, le jeune matou détourna les yeux, triste et surtout énervé, mais contre lui même, il n’avait pas accompli son rôle de frère, il n’avait pas sauvé sa petite sœur. Il chuchota juste un petit " au revoir".
C’est honteux qu’il alla se poster devant la porte de derrière, celle qui donnait sur la forêt. Il y a des jours, ou l’envie de s’évader à quelque part, lui donnait vraiment envie. Entrer dans cette forêt, qu’est-ce qui pourrait bien avoir à l’intérieur, Diablo aimerait bien le savoir. Certains disaient que des chats sauvages y vivaient. Dans ses yeux de chatons la forêt se reflétait à l’infinie. Un jour, il se rendrait dans cette forêt, pour échapper à cette vie.
Quelques lunes ont passées, depuis le départ de Patoune, le jeune Diablo a grandit et pas seulement en taille, mais aussi dans sa tête, même s’il a toujours honte d’avoir laissé Patoune, tout ce qu’espère ce jeune matou c’est qu’un jour, il la reverrait et qu’il pourrait s’excuser. Sa mère n’était plus très jeune, et donc, les bipèdes comptaient plus sur le jeune Diablo pour faire des concours de beauté. Bien sûr, il n’était encore qu’un chaton de sept lunes, mais un chaton qui avait déjà tant de concours de beauté, dans toute la ville. Diablo détestait ses concours, mais seulement voilà sa mère et ses bipèdes ne le laisserait pas comme ça, il n’avait pas le choix !
Devoir faire quelque chose, qu’il ne lui plait pas, ça il le détestait, n’avoir pas le choix, c’est pire que tout ! Pourtant, on peut toujours faire ses propres choix, c’est pour qu’un jour Diablo s’échappa. Je vais vous expliquer comment :
C’était le jour de la finale du concours régionale, Diablo faisait parti des finalistes, malgré lui, sa fourrure avait encore fait des merveilles, au grand bonheur de sa mère.
Le jeune chat se fit laver et brosser, très tôt le matin, il avait beau planter ses griffes dans la peau des bipèdes, ils n’arrêtaient pas. Le jeune chat abandonna et se laissa faire, puis ils sortirent vers le monstre.
Diablo se laissa tomber près de la cage, pendant que ses maîtres lui faisait une petite houppette, de dernière minute. Puis, ils allèrent prendre les affaires près de la porte, profitant d’un moment d’inattention, le jeune chat sauta en bas du monstre, et se mit en courrant vers le seul endroit qui l’avait à jamais attiré, c’est à dire la forêt !
Il sprinta, s’écorchant sa fourrure, laissant des touffes de poils sur les rosiers, et autres branchages, il ne voulait plus jamais s’arrête, plus jamais se retourner ! Même pas pour voir sa mère, près de la vitre, le regardant s’enfuir, le regard triste, se rendant compte qu’elle avait perdu son bébé, et pour toujours !
Diablo s’en fichait royalement que sa mère puisse être triste, elle n’avait jamais rien fait pour lui empêcher cette tristesse, pourquoi lui le ferait-il ? ! Parce qu’il connaissait cette douleur, au fond de l’estomac qui comprimait son ventre, et lui faisait mal au cœur ? Non, ce n’était pas une raison valable, jamais.
[…]
Midi approchait et voilà que Diablo se mit à ralentir, cette fois, il était assez loin de chez lui, ou plutôt son ancien chez lui, car à présent, il vivrait ici, là ou est sa véritable place. Là, ou il pourrait enfin devenir ce qu’il est, et ce n’était sûrement pas un chat de salon, croyez-moi ! Son destin serait merveilleux, à présent, c’est à lui de le découvrir, pour savoir qui il est !
Le pauvre estomac du matou grogna, Diablo renifla les environs, mais ne sentit rien à part de l’herbe ou des crottes de quelque choses, sûrement de chien, pensa t-il. Il avança encore un peu, s’enfonçant dans la forêt, il ne voulait pas vivre dans la forêt, mais après tout, pourquoi pas ? Ça avait l’air pas trop mal, à force de regarder autour de lui, il vit se dessiner un nid, douillet peut être pas, mais au moins il serait en paix, et pourrait faire des recherches pour retrouver sa sœur. A force de marcher ses coussinets lui faisait mal, donc il s’arrêta et s’assit près d’une souche d’arbre. Fatigué et affamé, il s’endormit très rapidement. Ses paupières, lourdes, se fermèrent doucement, laissant le noir envahir ses pensées, les plus sombres.
« Debout !, aller lève toi ! » « Quel flemmard, celui-là ! » « Tais-toi, Esprit du Lion » « Ben quoi ? C’est vrai, il fait un roupillon sur notre territoire ! » « C’est un chaton qui à l’air perdu, voyons ! »
Près de la souche, ou s’était endormi notre cher Diablo, trois chats faméliques et très musclés se disputaient, un très sombre se trouvait tout près de Diablo et avec l’aide de sa patte le poussait doucement, pour qu’il se réveille. Un peu plus en retrait se tenait une chatte rousse et un matou blanc avec une queue rousse et le bout des oreilles couleur feu, son poils étaient épais.
Il possédait aussi de grosse pattes, tout le contraire de la jolie chatte rousse. Le matou qui daignait essayer de réveiller Diablo était noir comme la nuit, seul ses yeux cyan glacial, donnait l’impression d’être vivant. Il avait une longue queue touffue, et des touffes de poils s’échappaient de ses oreilles.
Diablo, à force de se faire secouer comme un prunier, finit par ouvrir un œil émeraude, puis l’autre, il cligna des yeux et regarda le chat massif noir corbeaux, et trembla de peur. Celui-là et l’autre faisait très peur, par contre de la chatte rousse émanait une chaleur qui lui donnait envie d’aller se serrer contre elle.
Il se releva sous le regard vigilant des chats sauvages, sans aucun doute. Ses pattes tremblaient, mais pas de peur, mais de faim, il n’avait rien mangé depuis le jour d’avant, ses ex maîtres ne lui donnait rien quand il avait un concours, même s’il paraissait plus en forme comparé aux trois chats.
Il n’osait rien dire, il ne faisait que fixer, et observer, ses chats avaient une postures étranges. Ils étaient postés sur leurs pattes, fiers et forts. La femelle exactement pareil que les deux mâles. C’était effrayant mais en même temps fascinant, cette manière de prouver aux autres qu’ils étaient pas là pour rigoler, mais en même tant, représentant de quelque chose et qu’ils agissaient toujours avec justesse. Le grand mâle noir parla :
« Qui es-tu ? Et que fais-tu là ? » « Je suis Diablo, à vrai dire je me suis enfuis. »
Le chat noir inclina la tête vers ses condisciples, la femme hocha la tête et dit :
« Je m’appelle Pelage de Feu. Nous sommes des guerriers du clan du Vent… »
« Moi, c’est Aile de Corbeau, et voilà Esprit du Lion, ainsi que Nuage d'Ecureuil. »
Quel nom étrange, pensa Diablo. Il plongea son regard émeraude dans les yeux bleu de Pelage de Feu, elle était très jolie et avait si gentille, comparé à son homologue beaucoup plus sérieux. Mais bon, il n’avait pas l’air de vouloir le tuer, ou encore pis le manger, donc tant mieux.
Le jeune chat se calma un peu et se détendit. Esprit du Lion lui fit un petit signe de la tête, il n’avait pas l’air super content de sa présence, mais tant pis pour lui, il s’imposerait et peut être qu'il serait accepté. Nempêche Nuage d'Ecureuil était vraiment une jolie chatte, plus ou moins de son âge, mais elle lui faisait un peu peur, avec ses muscles.
Ailes de Corbeaux lui demanda :
« Que fais-tu aussi loin de chez toi ? » « Je suis partis de chez moi.. »
Pelage de Feu demanda :
« Mais pourquoi ? » « Car, ce n’est pas ma place, je le sens ! »
Diablo leva les yeux vers eux, on pouvait voir sa détermination et le reflet des étoiles, qui commençaient à pointer à travers le ciel. Diablo ne savait pas pourquoi il n’était pas encore chassé mais il n’allait pas se plaindre, à vrai dire. Esprit du Lion soupira et lâcha :
« On ne peut pas le tuer, et s’en aller, je meurs de faim ! » « Tu as toujours faim », constata Pelage de Feu, en riant. « C’est ça », dit le matou. « Arrêtez de vous chamailler, tous les deux ! », Ordonna Ailes de Corbeaux.
Puis, il se tourna vers Diablo et lui dit :
« tu sais, sans doute que tu es sur notre territoire ici, et que c’est une violation ? ! » « Je ne savais pas. Je m’excuse… » « tu peux t’excuser.. c’est ça… » « La ferme, Esprit du Lion ! » « Oui, madame Pelage de Feu. »
Ailes de Corbeaux haussa le ton et leur dit, en feulant :
« Arrêtez ça, tout de suite ! »
Diablo pensa que Ailes de Corbeaux devait avoir un rang élevé au sein du clan, vu que les deux autres lui obéissaient, au doigt et à l’œil. Il trouvait ça rigolo, surtout les regards que se lançaient les deux guerriers, personnellement Diablo soutenait Pelage de Feu, et pas seulement parce qu’elle était jolie, mais aussi parce qu’il n’aimait pas trop la façon dont Esprit du Lion le regardait, comme s’il le trouvait indigne d’être là, devant lui et de fouler son territoire. Les poils du jeune matou hérissèrent, il commanda à son cerveau de se calmer, avant que Ailes de Corbeaux ne se retournent vers lui.
« Bien, Diablo, sois tu repars chez toi, sois … » « On te réduit en charpie ! »
Esprit du Lion, encore une fois, pour changer la donne. Diablo se crispa. Pelage de Feu envoya un coup de patte sur l’oreille du guerrier, et soupira. Esprit du Lion s’éloigna sur le regard aigu du chef de patrouille. Il reprit calmement :
« Sois, tu nous suis et tu rencontre notre chef, et elle décidera quoi faire de toi. » « Qu’en dis-tu ? »
Diablo ne savait qu’en dire, Ailes de Corbeaux et sa compagne lui proposait de se joindre à eux, peut être que leur chef ne voudrait pas de lui, mais rien ne serait autant pire que de vivre auprès de ses maîtres. Il hocha la tête, et déclara :
« Je vous suis ! »
Pelage de Feu posa sur lui, un regard plein de sollicitude, tandis que Ailes de Corbeaux lui demanda :
« Tu en es sûr ? Tu ne pourras pas revenir en arrière jeune chat. » « J’en suis sûr ! » « Bien, allons-y »
Ailes de Corbeaux soutint le regard du matou, puis hocha la tête et rappela Esprit du Lion qui revint en râlant, au sujet de petit avorton qui ne servait à rien. Pelage de Feu se pressa contre Diablo, et lui enjoint de la suivre. Les deux chats étaient assez loin derrière Ailes de Corbeaux et Esprit du lion ouvraient la marche, mais ça ne dérangeait pas Diablo, ainsi il pouvait parler librement avec Pelage de Feu qui lui apprenait tout ce qu’il fallait savoir sur les clans, et surtout sur son futur clan, peut être.
[…]
« Qui vote pour que ce chat reste par mis nous et qu’il devienne apprenti, au sein du clan du Vent »
Diablo regardait le chef du clan, c’était une grande chatte qui faisait un peu peur, mais en tout cas qui se faisait respecter. Il espérait que les chats prendraient son parti mais ce n’était pas gagner, apparemment. Ailes de Corbeaux fut le premier à dire qu’il acceptait la présence du matou au sein du clan du tonnerre, suivit de près par Pelage de Feu qui enchérit l’avis du matou au poils sombre.
Puis, d’autres guerriers suivirent le mouvement. Diablo se dit que c’était sûrement à cause de l’influence du guerrier au poils sombre. Bref, la plupart des chats du clan l’acceptèrent.
Esprit du Lion n’avait pas l’air d’accord, et foudroyait la plupart des guerriers qui acceptaient sa présence. Le jeune matou se dit qu’il n’aurait pas envie de l’affronter en duel, celui-là. Le chef hocha la tête, et déclara :
« Très bien, à partir de ce jour, Diablo tu t’appelleras Nuage Téméraire et tu seras apprenti de notre clan, celui du tonnerre ! Sois fier de ton nouveau rang et rend honneur à ton clan !»
Sur ce Nuage Téméraire ressentit une grande fierté, surtout quand les chats vinrent le félicités, surtout la belle Nuage d'Ecureuil. Ailes de Corbeaux posa sa queue sur son épaule. Le nouveau novice ronronna. Esprit du Lion, lui, s’éloigna en foudroyant du regarde le nouvel apprenti.
[…]
Un beau mâle au poils foncé, avec une tâche de feu sur le museau parcourait un sentier sinueux dans la forêt, sur son territoire. Il était enfin devenu un guerrier du clan du Vent, à présent, on l’appelait Flamme Téméraire. Il était toujours très proche de Coeur d'Ecureuil, qui se trouvait près de lui à bondir sur tout ce qui bougeait, les deux guerriers s’amusaient bien, ensemble, rien que tous les deux.
[Fin]
* Son caractère : (Minimum 5 lignes)
Pour survivre, il faut se démarquer des autres…
Flamme Téméraire n’est pas une chat facile. C’est le cas de le dire. Je vous conseille fortement de surveiller vos oreilles, quand il se trouve dans les parages, un poil énervée. Un accident est si vite arrivé, n’est-ce pas ? ! le beau guerrier possède, vous l’aurez compris, un sale caractère digne, d’un caractère de cochon. Il ne se laisse pas marcher sur les pattes. Cette un vrai petit diable furibond, un chat toujours prompte à faire une bonne vieille baston ! Sur ces lèvres, ont peut lire toute l’ironie dont il est capable.
Le plus souvent, c’est quand il parle aux chats qu’il connaît, et qu’il porte un peu dans son cœur. Je vous laisse imaginer ce qu’il fait aux chats, qu’il ne porte pas dans son cœur, et qu’il ne connaît pas. Ce chat aux yeux vert émeraude et topzae est un poils sadique et provocateur, mais il ne faut omettre le fait que c'est un bon guerrier, ceci avec les chats qu’il ne connaît pas, simplement. À présent, les chats qu’il n’aime pas. Par ou commencer, Flamme Téméraire les rendra, furieux, méchant, jusqu’à qu’ils perdent totalement contrôle d’eux, pour pouvoir encore plus s’amuser à les voir patauger dans leur sentiment. Tout le tralala quoi ! Il sera aux anges, une fois sa mission accompli. Même si ce chat, parait méchant, au fond c'est un vrai ange, surtout avec les chats proches de son coeur, mais il est un poils moqueur.
Malgré tout ça, c’est un chat loyal qui sait très bien, ou se trouve la ligne blanche, celle à ne pas dépasser. C’est comme un panneau dans sa tête, les mêmes qui sont sur les routes, ils mettent attention danger, ne pas franchir ! Par contre, Il adore poser une patte, voir une griffe dessus, pour s’amuser. Oui, je sais. Il a un sens assez étrange du verbe « s’amuser », mais bon, on l’aime comme ça ! Il ne faut pas omettre le fait, que son cœur appartient au clan de tonnerre et cela pour toujours !
Il a du cran, et n’hésite pas à le démontrer à qui le veut, même si vous ne le voulez pas, ilvous le montra. Je ne parle pas encore de son courage, si je peux dire, c’est trois fois pires que son cran. Le courage pour lui, c’est de répondre à la question « Qu’est-ce que le courage ? », par « le courage c’est ça » Et de rendre sa copie avec un sourire satisfait. Pour lui, il faut avancer la tête haute, ne jamais reculer devant les obstacles. Les bûches ont les franchit, chez lui ! Son slogan « si j’avance, suivez-moi ! Si je tombe, relevez-moi ! Si je recule, tuer-moi ! » Ce slogan, il le tiendra coûte que coûte.
Il y a des chats qu’il apprécie, peu mais tout de même. Avec ces privilégier, elle est drôle (parfois) et moyennement gentil, en fait ça dépend de son humeur du moment. Ai-je besoin de préciser que son humeur est rarement bonne ? Non, je ne crois pas. Pour lui, encore un slogan important, celui-là « On partage » Ne pensez pas que Flamme Téméraire n’a pas de sens de l’humour, car ce serait faux. Eh, oui, il en a un, très particulier mais il en possède un, c’est déjà ça. N’est-ce pas ? Ce jeune guerrer adore jeter des boutades à tout va. Ainsi qu’il aime râler sur tout et rien, à la fois.
Sinon, îl possède le gène de la sagesse et pas de gène d’action, contrairement à certains chats. Il réfléchit avant d’agir et sait modifier les sentiments des chats, ou les siens. Il aime tant jouer avec leurs sentiments, sa spécialité ! Flamme Téméraire est, vous l’aurez compris, tout à fait normal, mis à part, les points cités plus haut
Nous sommes unique, pourquoi ne pas le montrer ? !
Flamme Téméraire aime que tout soit parfait, dans le genre guerrier maniaque, c'est tout a fait lui. Il préfère que les chatons soit prêts avant de commencer leur entraînement, et de se battre. Il aimerait beaucoup avoir son propre apprenti vu qu'il aime s'occuper des chatons.
Le jeune guerrier aime son clan, comme sa propre famille, puisque à présent, il n'a plus de famille. Je parle de ce qu’il aime, et pourtant « aimer », n’est pas dans son vocabulaire, ce n’est surtout pas son mot verbe préférer. Son vocabulaire est pourtant, bien garni ! Tout cela à cause de la perte de sa petite soeur, qu'il chérissait tant.
Bref. Passons à ce qu’elle n’aime pas. Monsieur Flamme Téméraire ne porte vraiment pas dans son cœur les solitaires, pour elle se sont que des bons à rien. Des vauriens qui volent le gibier aux vraies chats. Les chats sauvages, mérite mieux, pensa le guerrier.
Je ne préfère pas parler de ce qu’il pense des chats domestiques, ça risquerait de choquer les plus jeunes d’entre vous. Mais bon, si vous insistez, on va y aller en douceur. Les chats domestiques qui sont de bon guerriers, pas de soucis, ça passe tranquille, normal il est né chat domestique. Mais gaffe à ses griffes, si ce n’est pas le cas. En effet, il déteste ces chats rondouillards qui ne savent pas ce que sait, de se battre, d’être un guerrier, d’avoir des responsabilités, surtout ceux qui les juges, sans savoir ce qu’ils doivent affronter chaque jour !
Iln’aime pas non plus les oiseaux, trop de plumes et du bruit pour rien. Bref. Une perte de temps à laquelle Flamme Téméraire n’accorde aucune importance. Il y a tant de choses qu’il n’aime pas et pourtant, si peu. C’est ce qui le rend si spéciale, et unique en son genre !
* En ce qui me concerne..
* Mon prénom : Laetitia (facultatif) * Mon PUF : Tweety * Ce que j'aime : (facultatif) La musique et le foot :D * Ce que je n'aime pas : (facultatif) Ceux qui posent ce genre de questions =P * Couleur de mes chaussettes : (Obligatoire, haha !) 8) Et, si j'en ai pas ;) =P * Ai-je la possibilité de venir régulièrement ici ? Normalement oui * Mon avis sur ce forum :IL est joli ! (facultatif) * Comment l'ai-je découvert ?Coeur d'Ecu
* Règlement lu ? Oui * Le code : Ok par Shoom :)
Dernière édition par Flamme Téméraire le Sam 12 Fév - 12:59, édité 5 fois