Telle mère telle fille <3 pv Perle de Rose et Petite Pluie

[Coucou maman ! Peut tu faire le premier message de notre rp stp car je dois aller equeter des haricots dsl pour le changement de programme bsx je reviens dès que je peux!! :-*  ]

[Me r'voila ! :) ]
Il faisait a peine jour quand une goutte de rosée me tomba sur le museau et mes yeux s'ouvrirent.
Brrrrr je fut parcouru d'un frisson. J'avais terriblement sommeil. Je cherchait la fourrure chaude et rassurante de Maman du museau. Ah ! La voilà ! Je me blotie contre elle. Elle enroula sa queue autour de mon petit corps afin de me réchauffer. Ah ! Quelle super Maman, elle a compris que j'avais froid, alors que moi, le soir quand il est tard et qu'elle me dit qu'elle est fatigué et qu'il faut que je dorme, je ne l'avais pas compris !! Je songeait a la journée d'hier, j'avais été embetté les anciens avec Petit Papillon ! Nous nous étions bien amusez !! Heuresement que Maman ne l'avait pas su, parce que sinon, je me serais faite disputée... Mais ! Flash Back !! Maman m'a promis hier qu'elle m'emenerais a la rivière !! J'attendais ce jour avec tellement d'impatience ! Vite, fallais activé chauffeur ! Pas question d'attendre 3 ans pour y aller ! Il fallait que je boive, eh oui tiens, J'ai très faim me rappelais-je. Ensuite Maman insistrerais surement pour que je me lave !
Maman ? l'appelais-je, pas trop fort pour ne pas reveiller les autres.
Oui chérie ? me repondit-elle de sa voix douce.
Est ce que tu es encore fatigué ? parce que tu te rappelle, hier tu m'a dit qu'aujourd'hui on irait a la rivière ! lui expliquais-je tout bas, puis je levais les yeux vers elle attendant impatiament sa réponse.

Un doux soleil de fin de saison des feuilles vertes filtrait à travers les branches toufues de la pouponnière. Des ronflements se faisaient entendre. Le corps chaud et frissonnant de Petite Pluie chercha ma queue. Je l'enroulai de mon pelage chaud et fermai de nouveau les yeux. la petite soupira d'aise, mais s'agita assez vite :

"Est-ce que tu es encore fatiguée ? Parce que tu te rappelles, hier, tu as dit que tu m'emmènerais à la rivière aujourd'hui !"

Je soupirai en repensant à cette pormesse. Mais en même temps, faire découvrir le monde extérieur à ma petite fille pouvait avoir du bon ! Je me levai, las, et lui adressa un sourire. Dans une ondlation de queue, je l'invitai à me suivre. Je murmurai, une fois dehors :

"Il y a une chose que tu dois faire avant tout : goûter une vraie proie !"

Elle n'avais jamais mangé d'animal frais. Alors il était temps. Avec un sourire malicieux, je choisis un écureuil dodu et encore chaud sur le tas de gibier et le déposa devant elle. Elle commença à manger. Curieusement, elle semblait avoir l'habitude. Pourtant, les chatons ne mangeaiane pas d'animeaux. A son age, j'en avais déjà mangé, mais j'étais sortie du camp en douce, et j'avais chassé. J'avais enfreint le règlement en somme !
J'observai cette petite boule de poils. Elle avait bien grandi ... et elle était sortie u camp en douce, sans aucun doute !

"Sacrée Petite Pluie ! Tu n'écoutera jamais toi, hein ?" m'exclamai-je.

Elle coula vers moi un regard étonna, mais je me dirigeais déjà vers l'entrée du camp.

"Tu viens ?"

Maman soupira, puis se leva en m'adressant un sourire. Dans une ondlation de queue, elle m'invitai à la suivre. Nous sortimes de la pouponière sans faire de bruit, pour ne pas reveillé les autres.
Une foie dehors, elle me murmura:

"Il y a une chose que tu dois faire avant tout : goûter une vraie proie !"

Je me mis a rire sous cape, cependant je ne laissait rien apparaître. Elle pensais que je n'avais jamais mangé d'animal frais ! Elle avait faux sur toute la ligne. Avec un sourire malicieux, elledéposa devant moi un écureuil dodu et encore chaud. Hum... Cett délicieuse odeur me rappellait le gout délicieux qu'avait la viande. En compagnie de Petit Papillon, j'avais réussi a attrappé une souris ! C'était exquis !

En plus c'est moi qui avait attrappé la souris, pensais en me rememorant cet instant... Magique!

Sans penser a faire semblant de ne pas connaître le gout de la viande, j'engloutti l'ecureuil en trois bouché ! Une fois fini je m'appercue que Maman me fixa d'un air bizarre... Quand j'allais lui demander ce qui n'allait pas, elle me fit :

"Sacrée Petite Pluie ! Tu n'écoutera jamais toi, hein ?"

Incrédule, je la regardait sortir du camp.

"Tu viens ?" me lanca-t-elle.

Oups... Elle avait deviné que j'avais désobéi... Qu'allait-elle me dire? Je la suivai, attendant une réaction de sa part, mais non. Rien. Elle marchait la tête haute les oreilles au aguets. Elle avait une foulée élégante, majestueuse.

Je voudrais devenir comme elle plus tard !

Tandis que nous nous enfoncions un peu plus dans les roseaux, une question me traversa l'esprit.

Maman, est ce que tu es amoureuse ? lachais-je soudain.

D'un regard en coin, je remarquai que Petite Pluie guettait une réaction de ma part. J'affichai un petit sourire et tendit la queue vers le ciel ( avis aux pervers, je parle bien de sa queue de chat qui se trouve à l'arrière de son dos. Et c'est une femelle ) et avança d'un pas rebondissant sur l'herbe tendre. la petite semblait plutôt à l'aise. Je souris. Soudain, une question à laquelle je m'étais interdit de répondre durant des lunes et des lunes gicla sur moi comme du sang frais :

"Maman, est-ce que tu es amoureuse ?"

Elle n'avait pas vraiment l'âge pour que je réponde à ce genre de question. mais nous étions entre mère et fille, et malgré tout, Petite Pluie était en âge de comprendre l'amour. J'avais bien vu ses regards avec Petit Papillon ! Je souris tristement, et me reprit : elle ne devait pas voir ma tristesse :

"Bien sûr ! Je suis amoureuse de ton Papa adoptif ! Celui qui s'est transformé en étoile, et qui nous regarde de là haut toutes les nuits ..."

Je ne savais pas si elle pouvait vraimet comprendre cette métaphore, mais employer le mot, dire son nom me faisait plus que mal, bien qu'il soit parti il y avait longtemps. Je coulai un regard vers la petite, attendant une réaction de sa part. Elle semblait pensive. sans nous en rendre compte, nous nous étions arrêtées, à quelques queues de renard de l'entrée du camp.

"Bien sûr ! Je suis amoureuse de ton Papa adoptif ! Celui qui s'est transformé en étoile, et qui nous regarde de là haut toutes les nuits ..."
Je n'était pas sur d'avoir bien compris ! Maman était morte quand j'était petite... Mais ma maman avait le droit d'aimer un vivant !!! J'alllais le lui dire quand quelque chose bougea dans le fourret d'a coté, j'huma l'air. Une souris ! J'allais montré a Maman comment j'était forte ! Je me mis en posision lui fit signe de se taire de la queue et je la vie ébauché un sourir attendri. Je m'avancait doucement vers la proie. Puis je bondit! Et grace a mon poids j'assoma une enorme sautrelle !! Dépité, je la pris dans ma gueule, honteuse d'avoir confondu sautrelle et souris ^^ . Je la déposa près de Maman qui éclata de rire. Puis elle me lécha l'oreille comme pour dire : c'est pas grave !
Je la regarda puis lui dis :
Mais tu a le droit d'aimer un vivant ! c'est pas juste sinon ! Crois moi Maman, mieux vaut un amour imparfait que d'aimer une personne hors d'atteinte... lui dis-je tristement.

Petite Pluie ne réagit qu'en remuant les oreilles ... à l'écoute d'une sauterelle d'un un fourré. ainsi, elle n'avait pas compris. J'allais lui dire plus simplement que j'étais amoureuse, mais la boule de poils bondit dans le buisson et attérit sur la sauterelle. Je pouffai. Tête basse, elle m'ammena l'insecte. je lui léchai affectueusement l'oreille. Et déclara d'un ton triste :

"Mais tu a le droit d'aimer un vivant ! c'est pas juste sinon ! Crois moi Maman, mieux vaut un amour imparfait que d'aimer une personne hors d'atteinte... "

J'équarquillai les yeux en la dévisageant : elle n'avais même pas cinq lunes ! Je ne m'attendais pas le moins du monde à une réponse de ce genre de la part d'un chaton. Encore étonnée, je lui murmurai :

"Parce que tu aimes une personnes hors d'atteinte, toi aussi ? Je pensais pourtant que tout allait pour le mieux avec ..."

Je baissai la tête : ce n'était pas vraiment mes affaires, et je ne voulai surtout pas faire de gaffe où gâcher l'amitié entre ma fille et mon petit frère. Je souris : ce serait à elle de me le dire en complètant cette phrase, ainsi je saurais si je m'étais trompée ...

Elle eut l'air très surprise de ma réponse, fière je rougis un peu car les adultes étaient souvent impressionné par mon sens méthodique et mon raisonement.

"Parce que tu aimes une personnes hors d'atteinte, toi aussi ? Je pensais pourtant que tout allait pour le mieux avec ..."

Moment de choc ! Maman savait quoi de ma vie amoureuse ?! Je ne savais pas. Mais même moi je ne savais pas qui j'aimais. Cette nuit j'ai rêvé qu'un chat au pelage doré me sauvait de la noyade... Qu'il me murmurrait je t'aime... Je secoua la tête, je ne pouvais pas être amoureuse d'un songe, et il me semble que Petit Papillon m'aimait bien, et je l'appreciait également.

Je ne sais pas de qui je suis amoureuse maman, je pensais le savoir jusqu'a ce que mon rêve de cette nuit semme le doute... Mais et toi ? Maman aime tu quelqu'un de réel ou d'irréel ? Et si aimer quelqu'un d'iréel était mal ?

Un peu chambouler je viens me blottir contre elle.

Je ne sais pas de qui je suis amoureuse maman, je pensais le savoir jusqu'a ce que mon rêve de cette nuit semme le doute... Mais et toi ? Maman aime tu quelqu'un de réel ou d'irréel ? Et si aimer quelqu'un d'iréel était mal ?

Etait-ce mal ? Je n'en savais rien. Le chat que j'aimais était au Clan des Etoiles maintenant, et je ne savais pas si l'on pouvait toujours le considérer comme rééel, en tout cas pas matériellement. Mais il avait eu un rôle si important dans mon coeur ... Pelage de Tigre ... Je voyais encore ses yeux ... Mais cette dernière fois, ils étaient vitreux, couverts d'étoiles. C'était un rêve. De toute maière, je n'aurais pas pu en parler à Petite Pluie : il venait d'un autre Clan, c'était un amour interdit, et je ne devais pas la pousser à faire pareil : cela faisait bien trop mal.
Une larme perla au coin de mon oeil. Je la chassai d'un coup de patte et relevai des yeux brillants sur ma fille. je le voyais bien plus petite qu'elle ne l'était en réalité ... je souris :

"Bien sûr que non, ce n'es pas mal. Tu as le droit d'aimer quelqu'un d'irréel. Dans ton coeur il sera toujoours réel, et c'est cela qui compte. ne te préocuppes pas : aimes."

Aimer, voilà le seul conseil que je pouvais lui donner : sans jaouise, rangaine, vengeance, relation même ! Juste de l'amour, à sens unique c'était moins dur, contrairement à ce que l'on pourrait penser.

"Bien sûr que non, ce n'es pas mal. Tu as le droit d'aimer quelqu'un d'irréel. Dans ton coeur il sera toujoours réel, et c'est cela qui compte. ne te préocuppes pas : aimes."
Rassuré par ses paroles, je me remit a trotter joyeusement en direction de la rivère.
Tu as raison ! répondis je a Maman

Puis je la regarda d'un air malicieux, et lui lança en detallant :

La première arrivée a la rivière ! on fait la course Maman Allez !! lancais-je toute exitée.

Je courrus a un perdre haleine. La rivière ne devait plus être très loin. J'appercu les roseaux, je foncais vers eux alors que j'entendait les foulées ample de Maman qui se rapprochaient. Je foncait dans les roseaux et la, tout d'un coup, je le vis, de l'autre coté de la rivière, ce chat au pelage or, en train de s'abbrever de l'autre coté de la rivière, c'est a dire en territoire ennemi. Toute mes peine s'envolèrent. C'était le chat de mon rêves ! J'esperais tellement qu'il allait arrivé ! Il était la devant moi ! Il me fixa un moment puis détala en voyant Maman qui arrivait derrière moi.

Les yeux pleins d'étoiles, je regardait Maman, et lui fis :

J'ai gagner ! :)