Petit Coquelicot sort son cahier pour écrire ses textes. Faut qu'elle postule au titre de journalist

Pseudo: Petit Coquelicot
Puf: Coq', Coquille
Poste pour lequel je me propose:Journaliste ou rien !
Mes motivations: Très trèèèèès grande. Ça fait un bout de temps que je réfléchit à ce poste et puis je me suis dit que ça ne pourrai pas me faire de mal . Donc, j'aime beaucoup écrire, j'écris beaucoup de nouvelles, je m’essaye sur pas mal de petits textes, et bien sûr, j'ai essayée des romans, mais je les termines jamais...Bref. En plus, je voudrait bien que le journal sorte un peu plus souvent...


Un domaine particulier sur lequel vous voulez écrire des articles : J'ai pas vraiment de préférence...Le coin lecture ou l'interview ?
Idées d'amélioration :Ben...Paraitre plus souvent ? :p
Activité & disponibilité :7/7 jour active et disponible !
Un exemple d'article sur un sujet libre :


[ EN COURS ]

Coucou tout le monde !
Aujourd'hui je vais vous parler de livre. Plus précisément d'une série.
Elle a été écrite par John Flanagan en 2007 et a nommé cette série :
L'Apprenti d'Araluen
Six livres vont suivre le premier, L'Ordre des Rôdeurs. J'ai personnellement bien sûr lu ces livres, qui se sont déclarées être mon coup de cœur, mes livres préférés. Pourtant, je peux vous assurer que j'en ai lu, des séries ( notamment la Guerre des Clans x) ), mais aucune ne m'a percutée de la façon.
Flanagan a un style particulier facile à lire, bien décrit. je vous laisse découvrir, avec un petit résumé que j'ai fait moi-même :

Will est un orphelin vivant au château de MontRouge, avec d'autres orphelins. Tous ensembles, ils seront choisis par un Maitre, pour devenir un Apprenti Cuisinier, Palefrenier, ect...
Will ne sera pas choisi. Trop petit, trop gourmand, trop...Il se résignait à devenir paysan, aller faire les moissons avec les autres en été, quand Halt le rôdeur, vint et donna un papier mystérieux au Baron de MontRouge, qui gérait les orphelins.
Will devait voir ce papier. Il se glisse donc dans le bureau du baron, mais Halt l'attendait. Après explication et lecture du papier, Will devint l'Apprenti de Halt.
Il vivra des aventures éprouvantes armé de son arc aux côtés de Halt et de Fôlatre, son poney.
Mais Morgarath, sombre seigneur, projette de s'emparer de Araluen, le royaume du roi. Il envoie pour cela les terribles Kralkaras, monstres assoiffées de sang.
Il n'en reste que trois, mais il leur sera bien dur de les occire...

Tristan rentra donc à Tortuga, avec l’intention – pourtant auparavant révolue – de redevenir un humble pirate. Oh, ces motivations n’étaient maintenant, presque, plus que pour l’argent. La découverte était une idée qui lui avait traversé les tripes de maintes et maintes façons. Plus besoin de revenir là-dessus, c’était du passé. Et le passé, parlons-en. Ou plutot, regrettons-le. Tristan savait désormais si bien faire. Il ne s’écoulait plus un jour où il ne chantait pas les louanges de ce temps, jadis si parfait. De l’absolue dignité d’être un pirate. De l’amour, regretté, de la loyauté et de l’honnêteté. Du temps où les choses étaient différentes, meilleures, encore vierges de toutes infamies et de tous changements désastreux. Alors qu’il ne l’était pas le moins du monde, Tristan était devenu nostalgique. Perdu dans ses esprits, bouffé par les remords. Il aurait dû
demander à cette demoiselle de boire un verre de rhum, aller accoster ce jeune capitaine et tirer sans hésiter sur cet autre. Il regrettait des choses oubliées, des choses passées qu’il n’avait pas accompli comme il l’aurait dû. Erreurs, préventions ou simples protections ? Dans tous les cas, c’était au bout de cinquantes années qu’il se rendait compte de ce que avait été sa vie. Bien remplie, c’est indéniable, mais était-ce suffisant ? Enormément de questions se bousculait dans sa tête, ne laissant pas la place au repos de s’épanouir. La fameuse crise de la quarantaine avait duré bien trop longtemps chez Tristan. Et elle durera encore. Des questions, encore des questions, toujours des questions. Et s'il s’était cantonné au plaisir d’être dans la Marine ? S’il avait choisi de suivre les traces de son père ? S’il se serait marié ? Comment serait sa femme, ses enfants ? Aurait-t-il été si différent ? Et le plus important : aurait-il été plus heureux ?

Cette intropsection lui valait le plaisir de goûter au repentir. L’évolution des choses le chamboulait. Il n’avait plus de repères, les choses avaient changées. Et ça lui manquait. Il en avait besoin. Rien que son reflet dans la glace le rendait triste. Où était passé le jeune et beau Tristan Klingsor ? Etait-il caché derrière ces rides, ces joues creusées par le temps, ces vêtements riches, faisant office de couverture pour un début de viellard qui ne s’assume pas ? Il l’espérait tant. Il en était même convaincu. Ses mains rêches à cause du sable, du vent et du sel était le symbole de son parcours. Ses cheveux grisonnants également, ainsi que tout le reste. Il en était fier. Heureux de montrer qui il était et ce qu’il avait vécu. Mais tellement triste de ne plus être et de ne plus vivre.