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 | Sujet: Kelbring  Mer 2 Fév - 8:40 | |
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Petite histoire que j'avais commencer il y a un petit moment, quand je n'avais rien à faire en vacances ^^' Je ne sais pas si continuer, à vous de me dire :)
Kelbring
Ou l'art de l'intrusion
C.H.A.P.I.T.R.E. 1
.Par la fenêtre.
-"Sweden Ashort! Pourquoi l'eau ne coule-t-elle pas déjà?!
Swenden, c'est moi. Une jeune fille plutôt ordinaire, qui vit dans une maison ordinaire, dans une ville ordinaire. Je suis très souvent en retard. Mais là, je sais, c'est le troisième appel de Lucy, et si je ne me bouge pas, elle risque de débarquer. Je me lève. Une odeur bizarre flotte dans l'air, mais la voisine est une espèce de taré qui fait brûler des tas de plantes contre des tas de choses.
Je laissais quelques instants l'eau brûlante ruisseler sur mon corps, avant de m'enduire de savon. Il avait une odeur étrange. Et pas comme celle des plantes de Mlle Turthy, non, une odeur de... de cendres... Ça ne sentait vraiment pas bon. Je soupirais et me rinçait. J'allais apporter le tube à Lucy quand je le portais à mes narines. Il ne sentait plus que son odeur habituelle d'orange et verveine. Étonnée je le reposais et descendis.
-" Bonjour Lucy."
Ah oui, je ne vous ais pas expliqué. Lucy, c'est ma gouvernante. Elle doit avoir environ trente cinq ans, les cheveux châtains clair, et des yeux verts profonds. Elle est plutôt gentille quoique stricte. Mais au moins, je sais que quelqu'un se soucis réellement de moi. Pas comme Mlle Theenp. Ma sois disant mère. Elle m'a "adopté" il y a maintenant six mois. Enfin, dans adoptée il faut entendre "A était obliger de me prendre sus sa garde après le décès de mon tuteur officiel." Elle ne m'aime pas, je ne l'aime pas, comme ça, tout va bien. mais elle est en voyage d'affaire. C'est très bien ainsi.
-" Tu es en retard."
Elle sait que ce n'est pas la peine de me le dire. Je le sais très bien, et je suis souvent en retard de toute façon. Tant pis. Ce n'est pas cinq minutes sous l'oeil attentif de mon prof de math le dénommé M.Gebelin. J'avale mon superbe petit déjeuner qui se résume en une omelette d'oeufs brouillés, et je sors. L'air froid me fouette le visage. Alice est en retard. Comme d'habitude.
Quand enfin elle arrive à bord de sa jolie Smart vert fluo, je saute dedans. L'hiver est froid. Comme tous vous me direz.
-" Nolemy à attrapé un rhume. Elle a le nez tellement rouge qu'Essy l'a appelé "La Tomate Eternuante." Imagine le drame."
J'ai souris. Les ragots allaient toujours bon train ici, et Alice aimait parler.
Toujours la même route, le même tournant. J'étais comme qui dirait blasée. De toute façon, la journée allait être terriblement ennuyante.
Graben. Le lycée le plus normal de toute la terre. Avec son équipe de basket, et celle des pom-pom girls. Les autres activités, bien que présentes n'était que guères fréquentés. Voire pas du tout.
Cour de Mythologie, avec M.Coco. Le pire, c'est que c'était son vrai son. Même pas un des surnoms stupides qu'avaient put lui donner les élèves. Je m'assis. Pas tout au fond de la classe. L'équipe de basket me matait comme jamais. A force, on s'y fait. Je ne me trouve pas particulièrement jolie. J'ai deux yeux bleus Cobalts, entourés d'un liserer bleu clair. Eux, ils sont grands et beaux. J'ai des cheveux bruns souples vers la fin, m'arrivant vers les épaules. Une franche sur le côté, qui cache quelques fois mon oeil droit. De taille moyenne, j'ai des formes, et je m'habille simplement. Aujourd'hui je porte une robe qui m'arrive aux genoux, bleue-noire, un collant noir, une ceinture, et des bottes. J'ai glissé un serre tête bleu entre ma frange et le reste de mes cheveux, et j'ai passé un coup de khôl sur mes yeux. Pas de far, de fond de teint. Encore, aujourd'hui j'ai le khôl. C'est pas tous les jours. Sabrons le champagne.
Le cours attaque. On parle, on parle, et je n'écoute pas.
Jusqu'à ce que le prof se mette à parler du Kelbring. On connaît tous cette histoire. Autrefois, des personnes, rares, possédaient ce don. Le don de se lier avec quelqu'un. Elles choisissaient qui, et si ce choix était le bon, mais vraiment le bon, il arrivait qu'elles développent un autre pouvoir. Les choisis, eux, se contentaient d'être content d'avoir était choisis. Quand on se liait avec quelqu'un, On pouvait se limiter aux transmissions de pensées. Ça, c'était Kelsing. Mais Kelbring, c'est plus que ça. On ressent aussi ses émotions. Mais le Kelbring est fatiguant, alors que le Kelsing, non.
Une histoire, juste un histoire.
On avait tous rêver, un jour où l'autre d'être cette personne rare. Mais la personne ayant écrit ce livre avait était interné trois mois plus tard pour maladie mentale. Dur d'y croire. Et pourtant, on avait une dissert' à faire à ce sujet.
Je soupirais. L'heure promettait d'être longue.
Une voiture. Elle roulait à une vitesse ahurissante. La ville? Angleton. Notre petite ville. C'était une Mercedes gris métallisé. Je ne distinguais pas le chauffeur. Elle roulait tellement vite, que le paysage en devenait flou. Et l'autre voiture. Une petite twingo, l'air récente. Noire luisante. Elle, roulait à une allure correcte, bien que, je le devinais, n'était pas aux 9o réglementaires. La twingo tourna à gauche. Sur une petite voie. Je doutais que deux voitures passent en même temps. La mercedes s'y engagea aussi. A l'autre bout de la rue.
"Tourne, bon sang, tourne!"
La voiture noire ralentit.
"Tourne!"J'étais comme quelqu'un qui regarde un film, ou la demoiselle se fait tuer. On voudrait qu'elle courre ou se cache. On hurlerait presque devant la télé. J'étais pareil.
Sauf qu'il n'y avait pas de télé.
-" Sweden? T'es parmi nous?"
-"Oui oui. Je rêvassais, c'est tout."
Je souris à Alice, d'un sourire rassurant. Alice, elle était jolie. Deux yeux noisettes et des cheveux blonds et souples qui tombaient sur ses épaules en cascades. Un joli minois, et quelques légères taches de rousseurs.
-" Eden! Regarde un peu par la fenêtre!"
Eden. YIl n'y avaitue Kevin pour mm'appeler comme ça. Malgré tout, le regardait par la fenêtre. Un samu passait. une chose totalement banale.
Sauf qu'ici, aucun Samu ne passait, sans qu'on connaisse le nom de la personne qui était dedans.
Je frémis. Ca pouvait être n'importe qui...
Un mauvais pressentiment Lucy? Peut être bien. Au pire c'était ma prétendue mère, je serais soulagé. Elle, on s'en fichait. Mais je le savais, elle était en voyage en Pologne. Elle ne rentrerais que dans trois mois.
Tout le monde s'est mis à envoyer des textos. Des "Tu vas bien??????!"
Je n'en envoie pas. Les personnes que j'aime sont ici. Lucy n'a pas de portable. Les nouvelles technologie lui font peur.
Enfin sa sonne.
-" Alice, tes clés."
Elle soupire, avant de me lancer un regard entendu. Je lève les yeux au ciel, et elle finit par me jetter ce que je voulais.
-" Pas de bêtises."
Si elle savait...
.C.H.A.P.I.T.R.E. 2.
.La Fille.
J'avais mal. C'est tout ce dont j'avais conscience, pour le moment. Une douleur lascinante dans le bras, dans la jambe, dans la tête. Je flottais en quelque sorte dans un état second. Les paupières closes, et aucune envie de les ouvrir. La douleur était telle que je pensais un moment être mort. Mes derniers souvenirs? Une voix dans ma tête. Elle me disait de tourner. J'ai crut un instant avoir des hallucinations, et j'ai levé le pied. J'allais me garrer sur le bas de côté quand une voiture à percuté la mienne. A une allure que vous ne pouvez pas imaginer. J'ai sauté sur le siège passager.
Un bruit. Le bruit de la tornade grise contre la mienne m'avait assourdit. Et la douleur en même temps. Puis plus rien. Juste cette douleur qui semblait ne jamais se tarir.
-" Qui était dans ce samu?!"
-" Un étranger madame. Les malades doivent ce reposer, parlez moins fort."
-"..Mm oui, pardon. Donnez moi son nom... je sais pas.. Comment était sa voiture?!"
-" Je ne sais pas Madame. Ce n'est pas ce genre de chose qu'on nous communique."
-" Je ... Je voudrais le voir."
-"Il se repose Madame. Il n'a même pas ouvert les yeux."
-" J'attend ici alors. Prévenez moi quand il a ouvert les yeux."
Lentement je sortis de ma torpeur. Cette voix... C'est celle que j'avais entendu. J'en étais sûr. J'ouvris un oeil. La lumière m'aveugla, et je le refermais immédiatement. Allez, courage Sam! J'ouvrais les yeux d'un coup, et fixait résolument une table. Je m'assis dans mon lit blanc. Le drap était taché de sang. Je ne sentais pas mes jambes. Une peur sourde s'empara de moi. Une vie sur une chaise roulante? Je me pendrais plutôt que de vivre ça. Je soulevais le draps. Sur ma jambre gauche, un énorme pansement, et la cheville droite dans le plâtre.
J'appuyais sur le bouton, sonnant une infirmière. Elle arriva en tortinant. Sur son blouson, il y avait marqué "Puère." Et en dessous... Je me concentrais. "Maya."
Elle me sourit. D'un sourire qui se voulait rassurant.
-" Bonjour! Bien dormis? "
-"Non. C'est quoi ça?" Dis-je en montrant le pansement.
-"Oh.. Vous aviez un éclat de verre profondément enfoncé." Elle semblait déstabilisé par ma réponse.
-" Pourquoi je ne sens plus mes jambes?!"
Elle reprit une certaine contenance, avant de me répondre de son air désolé.
-"Votre cheville à était broyée. Vous hurleriez de douleur à l'heure qui l'est, si vous le sentiez. De plus, l'éclat de verre est rentré dans le muscle de votre mollet. Vous perdriez connaissance, avec la douleur."
-"Je pourrais remarcher quand?"
-"Il faudra être patient. Dans au moins six mois."
J'aurais voulus hurler. Six mois, c'était beaucoup trop!
-" Vous voulez autre chose?"
-"Voir la fille."
.C.H.A.P.I.T.R.E. 3
.Le Garçon.
Il avait demandé à me voir. Je ne sais pas pourquoi. Je ne le connaissais pas après tout. J'étais simplement sûr que c'était à lui que mes hallucinations faisaient référence. Ca me faisait un peu peur. L'inconnu m'attirait, certes, mais pas celui-ci. Je m'avançais donc, et pénétrais dans la chambre.
-"Euuh..; Bonjour."
-"Bonjour."
-"Vous avez demandé à ce que je vienne?"
-"Merci."
Perplexe, je le regardais.
-"Merci de quoi?"
-"Les medecin disent que si je ne m'étais pas décalé, si je n'avais pas ralentit, je serais mort."
-"Vous avez eu de la chance."
-"Vous m'avez sauver."
Il m'avait... entendu quand je lui avais dit de tourner? Je ne saisissais pas comment cela était possible. Je secouais la tête, incrédule. Il devait avoir seize ans. il était chatain clair, une frange et deux yeux brun comme parsemés de pailettes dorées. Il était plutôt grand, des muscles fins et sec. Il était mignon, je l'avoue.
-"Tu te rendais où?"
Il sourit tristement.
-"Chez ma Tante. Prue. Mon autre tante m'a demander de "dégager" de chez elle. Sans raison apparente. le medecin à dit qu'elle faisait une crise de... je ne sais plus. Aucune importance."
-" Ah je... désolée."
Il me regarda un instant.
Kelbring.
L'idée me trottait dans la tête. C'était bizarre tout de même. Comme s'il pouvait m'entendre! C'était impossible! Mon esprit rationnel me disait que je divaguais sans doute. Il coupa court à mes pensées.
-" Tu habites où ?"
-" A Greensten, vers le lycée Graben. Et toi?"
-" A Hollymurth Manor."
-"Ah."
Hollymurth manor. Il se situait près de chez moi, derrière la plantation de coton. La dame qui y habitait possédait des chevaux je crois. Mais elle n'allait pas souvent en ville, je ne la connaissais pas.
-" ..Je..; J'y vais, je dois aller en cours. A plus!"
Il ne me répondit pas. Il semblait fatigué. Tant pis.
Quand je m'assis sur la chaise, près d'Alice, le monde semblait avoir changé. A moins que ça ne soit moi.
C.H.A.P.I.TR.E .4
L'électricité
Je ne savais même pas son nom.
C'était frustrant. Je ne connaissais rien de lui, mais vu son état, il resterait sans doute longtemps à l'hôpital. Je retournais le voir. Rapidement. J'avais envie.
Je remontais un peu la couette. J'avais froid. Je regardais au plafon. J'aimais dessiner, et mon plafon ne faisait pas exception. Mon lit, deux places, était suspendu au plafon. En levant les bras, je pouvais poser mes paumes à plat dessus.
Dessiner, c'était comme une seconde nature. Ca se faisait sans réfléchir. Je dessinais selon ce que je pensais. Au plafon? Au feutre noir, des formes tribales, un homme et une femme, dans les bras l'un de l'autre, un oeil vu de profil qui pleure, une voiture, un jeune homme sur son vélo, un combattant, un cavalier, un coeur, et des mots.
Ceux que j'écrivais, c'était pire que les dessins. Ils les accompagnaient, et sans un mot au moins, le dessin ne paraissait pas complet...
J'ouvris mon feutre. Lentement, je traçais des mains qui se tendent vers une chose noire. Je dessine l'ombre, les traits prononcés. Je trace : J'aimerais pouvoir l'éffleurer. Je ne savais même pas pourquoi ses mots...
Je me lève. J'ai juste envie de le voir, et même si il est tôt, je m'en fiche. S'il dort, j'attendrais.
J'arrive à l'hôpital. Il est réveillé, me dit une certaine Maya. Je rentre dans la porte, il sourit.
-" Bonjour!"
-" Bonjour."
Ca voix est douce. Elle semble enjouée est posée.
Mais sonne faux.
-" Ca ne va pas, je me trompe?"
-" Non, effectivement. Dans six mois, je pourrais remarcher. Pas avant. Et Wilthburry..."
-"Je suis désolée... "
-" Ce n'est pas votre faute."
-" Wlithburry...?"
-" Un concour d'endurance... je... j'aime bien les chevaux."
-"Oh. Je vois. "
Je pose ma main sur le sienne. Il se crispe et je la retire. Sans m'excuser, je.. je suis comme sans voix. Devant ses yeux ... Les points dorés ont disparuts. Bizarre. Mais il reste mignon.
-" Quel est votre nom..?"
-"Sam. Sam Tenly. Et toi?"
Il m'a tutoyé. Je frémis. Allez, comme si c'était ton genre de rougir Sweden!
-" Sweden Ashort."
Il semble réfléchir.
-" Sweden... C'est un beau prénom."
C'est gentil. Je lui souris. Mais je suis mal à l'aise, il le sent.
Une douleur m'ensserre lentement la tête. La lumière commence à m'être insupportable. Migraine? Si je parle, le temps passera peut être plus vite.
-" Ta jambe va mieux?"
-" Je ne sais pas. Je ne suis pas medecin. Si tu veux voir.."
Sans me laisser protester (L'idée de voir une jambe meurtrie et sanglante ne m'enchante pas vraiment à vrai dire) il soulève le drap. Seulement un gros pansement. Je suis soulagée. De ne pas en voir plus.
Il arrache le pansement. Et hoquette de surprise. La plaie est petite, cicatrisée sur les bords. Je le taquine gentilment :
-" Ben, c'est tout? Je m'attendais à une vraie blessure de guerre!"
Mais lui, ne semble pas rire. Il remue ses orteils.
Un grand sourire lui fend alors le visage :
-" C'est merveilleux."
-"Quoi donc?"
-" C'est guérit. Je le sens. C'est guérit..."
Seulement du bonheur dans ses yeux. Comment ça peut être guérit en... Seulement quelques heures?
-" C'est impossible!"
-" Et pourtant."
C.H.A.P.I.T.R.E. 5
Et si je t'aimais?
-" Wahouuu! T'a vu le nouveau!!"
Je tourne la tête. Je risque d'être le nouveau un sacré bout de temps. Une fille, l'air terriblement snob, cachée sous un bon kilomètre de fond de teint de luxe, et ses cils semblent alourdis par le masscara s'approche de moi.
-" Salut... Tu es le nouveau je présume? Oh, moi c'est Nolemy. Et toi? Oh, je suis bête, ça doit être Sam toi. Je crois que tu es dans ma classe, c'est génial non?"
-"Euh oui, super."
Je ne supporte pas ce genre de filles. Pembêches. Vicieuses. Bref, elles sont l'ooposé de celles que j'aime.
Une autre fille s'approche. Aucun maquillage, elle. Ses cheveux blonds étincellent à la lumière. Elle semble un peu timide, et me souris et serrant contre sa poitrine son bouquin de ... de Chimie je crois.
-" Bonjour. Moi c'est Alice. Tu dois être Sam. Sweden et toi êtes dans la même classe en français, et Chimie."
-" Oh. Elle t'a parlé de moi?"
-"Pfffiou, oui! A chaque secondes depuis que le samu est passé."
Je m'éloigne.
Ah. Enfin. Un sourire franc, charmant. Des yeux cobalt, avec des légers points bleus clairs. Elle porte une jupe bleue clair, avec des collants bleus foncés. Des ballerines blanches, qui sont assorties à son collier. Elle a glissé un bandeau bleu clair dans ses cheveux, et à tracé un trait de khôl, pailletté de bleu sur ses yeux.
Elle est belle.
A en crever.
Je m'approche, mon coeur bat. Je m'éfforce de ne pas m'émpourprer avant de la saluer. Elle me répond, tout sourire.
-" Bon, pourquoi tu marches toi?"
-" Ben... Je suis guéris."
-" Oui, c'est normal. Après c'être presque broyée, le lendemain, tu es au lycée. "
-" Been... Oui."
Elle secoue la tête. Elle ne comprend pas. Moi non plus d'ailleurs. Mais je suis heureux. En un jour... Mais j'ai dormis toute la journée d'hier. A croire que guérir, c'est épuisant. Maya, l'infirmière soutient qu'une espèce de lumière ambré m'a entouré. Mais elle était fatiguée. Juste fatiguée...
Dernière édition par Poussière de Cendres le Jeu 3 Fév - 7:35, édité 3 fois |
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